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Je voyageais en Bretagne tout seul à pied. De temps en temps une pierre druidique pareil à un fantome debout me regardais passer imperceptiblement et peu à peu ce quelque chose d'invisible entrait en moi une appréhension confuse: Il est des soirs où l'on est frôlé par des esprits vagues, où l'âme frissonne sans raison, où le coeur bat sous la crainte d'un danger vague
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