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Bonjour,
Avec le déclin progressif du pouvoir royal, s’affaibli en même temps l’influence de l’Eglise. Les pouvoirs locaux s’affirment au détriment du pouvoir central, et les hostilités entre seigneurs et vassaux ne diminuent pas au contraire. C’est dans ce contexte que l’Eglise commence à s’aliéner en obtenant la protection de plus puissants aptes à protéger ces paroisses. En échange, ces charges ecclésiastiques sont de plus en plus souvent accordées à des personnes de l’aristocratie sans éducation cléricale qui dispose des biens de l’Eglise. On parle même de féodalisation de l’Eglise. S’opère donc une confusion entre les choses saintes et les affaires laïques. C’est ce qu’on appel la simonie caractérisée par le trafic des offices. Par exemple les clercs donnent de l’argent pour obtenir des une dignité ecclésiastique puis se font rémunérer pour tous les actes en rapport avec leur fonction. Cette vénalité des charges est le reflet d’une crise morale.
La réforme générale de l’Eglise a pour but de (re)christianiser les états, réformer les mœurs du clergé et des laïcs en charge. Cette réforme générale va dans un premier temps être précédée par une réforme monastique. Ces ordres monastiques se placent sous la tutelle directe du souverain pontife et se réclament de la règle bénédictine. Des communautés régaliennes s’organisent et se hiérarchisent. Ces ordres s’installent dans les lieux de féodalité (campagnes). On retrouve deux ordres monastiques opposés très populaires.
Avec le déclin progressif du pouvoir royal, s’affaibli en même temps l’influence de l’Eglise. Les pouvoirs locaux s’affirment au détriment du pouvoir central, et les hostilités entre seigneurs et vassaux ne diminuent pas au contraire. C’est dans ce contexte que l’Eglise commence à s’aliéner en obtenant la protection de plus puissants aptes à protéger ces paroisses. En échange, ces charges ecclésiastiques sont de plus en plus souvent accordées à des personnes de l’aristocratie sans éducation cléricale qui dispose des biens de l’Eglise. On parle même de féodalisation de l’Eglise. S’opère donc une confusion entre les choses saintes et les affaires laïques. C’est ce qu’on appel la simonie caractérisée par le trafic des offices. Par exemple les clercs donnent de l’argent pour obtenir des une dignité ecclésiastique puis se font rémunérer pour tous les actes en rapport avec leur fonction. Cette vénalité des charges est le reflet d’une crise morale.
La réforme générale de l’Eglise a pour but de (re)christianiser les états, réformer les mœurs du clergé et des laïcs en charge. Cette réforme générale va dans un premier temps être précédée par une réforme monastique. Ces ordres monastiques se placent sous la tutelle directe du souverain pontife et se réclament de la règle bénédictine. Des communautés régaliennes s’organisent et se hiérarchisent. Ces ordres s’installent dans les lieux de féodalité (campagnes). On retrouve deux ordres monastiques opposés très populaires.
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