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Bonsoir ! Voici un extrait d'un livre que moi et des amis sommes entrain d'écrire. Je me suis dis que tu pouvais t'en servir pour ce devoir. Je te le laisse comme base. C'est certainement trop long et trop développé pour ce que tu dois faire, alors je te laisse faire les modifications nécessaire !
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Sur une petite route de campagne deux hommes fatigués roulaient en voiture. Le soleil couchant agaçaient leurs yeux. Cela faisait déjà plusieurs jours qu'ils avaient pris route pour rejoindre la ferme d'un de leur oncles, mais ils avaient certainement du se perdre en chemin. Il faut dire que les multiples routes et bifurcations n'étaient pas simple à suivre, et il aurait été plutôt simple pour ces deux amis de s'égarer.
La faim les tiraillait, ils n'avait pas manger depuis plusieurs heures, mais il ne restait pas une miettes de pain dans leurs sacs. Ils devaient se trouver très loin de la ville la plus proche, alors ils décidèrent qu'a la vue de la prochaine maison, ils s'arrêteraient et irait mendier un peu d'eau et de pain ; peut-être un logis pour la nuit. C'est ainsi qu'après deux longues heures, ils tombèrent en panne d'essence ; il fallait s'y attendre !
-Mince, ça ne peut pas être possible ! Pas maintenant, en pleine nuit !
-Il faut croire que nous avons trop roulés. Laissons la voiture ici, et partons plutôt à la recherche d'un endroit sur ou passé la nuit.
-Ne vaut il pas mieux dormir ici, à l'intérieur ? Dehors, il pourraient nous arriver n'importe quoi, et des brigands pourraient s’emparer du véhicule.
-Tu as certainement raison. Mais nous n'avons rien à manger...
-Partons vingt minutes pour trouver de quoi se mettre sous la dents, mais ne tardons pas !
-D'accord.
C'est ainsi que les deux amis s'éloignèrent du véhicule, armés de bougies, en espèrent trouvé quelque chose à manger. Cela faisait déjà quinze minutes qu'ils marchaient, sans avoir rien trouvé. Il s'apprêtait à rebrousser chemin quand l'un d'eux cria à l'autre :
-Romain ! Regarde ça ! Ce ne serait pas de la lumière ?
-C'est impossible, ton imagination te joue des tours.
-Si, regarde, j'en suis sur !
Et il se mit à courir vers ce qu'il avait vu. Son ami le suivis à son tour, en l'appelant, mais ce dernier ne semblait pas l’entendre. Il finirent par arriver, haletant, devant une petite maisonnettes. Aucuns son, aucunes lumière ne provenait de cette demeure.
-C'est étrange, c'était allumé, avant !
-Les propriétaire on surement du éteindre. Toquons.
Son ami s'avança donc silencieusement vers la porte, et approcha sa main. Il donna un petit coup dans la porte avant que celle ci ne s'ouvre par elle même, dans un grincement sinistre. Surpris, les deux jeunes hommes firent un pas en arrière, avant de se regarder.
-C'est ouvert...
-Je sais, je ne suis pas aveugle, dis Romain en s’avançant d'un pas sur dans la maisonnette.
-Hé, Guillaume ! Tu pense vraiment que c'est une bonne idée, demanda l'autre en haussant la voix. Il y a peut être des gens, à l'intérieur... Rajouta t'il dans un murmure.
-Reste ici, si tu as peur ! Ce n'est qu'une fichue maison.
-Ouais... Répondit-il en s'aventurant d'un pas mal assuré à l'intérieur.
L'intérieur était encore plus petit et étroit que l'extérieur. Il n'y avait qu'une seule pièce, une odeur nauséabonde et personne à l'intérieur. Des feuilles de papiers jaunis par le temps était entassé par terre, des vielles photos prise en noir et blanc trônait des des cadres au verre brisés, disposé un peu partout sur un grand bureau. Romain examinait déjà l'intérieur des armoires, tandis que Guillaume, qui venait à peine d'entrée, n'osait pas avancé.
-Hé, regarde ça Guillaume, on dirait les photos de la jeunes Missa Kazaky. Elle à été enlevé quand elle été âgé de huit ans, et on ne l'a plus jamais revue.
Alors que Romain continuait ses explications au sujet de Missa Kazaky, Guillaume aperçut en face de lui un miroir brisé, dans lequel reflétait l'entrée de la demeure, ainsi qu'une partie de l'extérieur. C'est alors qu'il aperçut, en haut du petite colline, un homme qui les observait dans la nuit. Cet homme tenait quelque chose à la main, quelque chose dont Guillaume ne pouvait deviner la forme. Il coupa son ami dans ses explications :
-Hé, Romain, regarde la bas. Je crois que... Que quelqu'un nous observe !
(suite en commentaire)
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