Répondre :
voici les gardes lignes d'un plan éventuel :
- nous décidons un départ en rando dans les Gorges du Verdon ( coin isolé, pas de connexion, pas de secours). Préparation, matos ( tout l'inutile, rien d'essentiel)
- mon jeune frère insiste pour emmener son... couteau suisse, son foulard de patrouille.
-Je me moque de ses habitudes tenaces de boyscout! mais consent tt de même.
- Partis tôt, nous cheminons, (description du paysage - vue, odorat, ouïe,toucher...), faisons des arrêts( plaisanteries...)
- au bord d'un ruisseau limpide qui serpente le long du chemin, nous nous dechaussons pour faire trempette(decrire)--soudain, je pousse un cri aigu, douleur fulgurante dans le pied et la jambe. l'eau se teinte de rouge
- réflexe de secouriste, mon cadet ausculte, palpe, tâte la plaie. Je geint de douleur ( tt de même je ne vais pas glapir comme une damoiselle !!)
- un tesson de bouteille aussi transparent que l'eau s'est enfoncé sous la plante du pied occasionnant une belle coupure. Impossible d'obtenir une connexion quelconque dans ce décors désertique
-mon boyscout de frère ne s'affole pas, sort le précieux couteau, le désinfecte d'une rincée d'eau-de-vie de coing( tradition familiale héritée de mon grand-père) et entame mon pied tel un chirurgien opérant depuis le berceau. Il nettoie la plaie d'une nouvelle rasade qui, cette fois m'arrache un hullulement de Beagle à l'arrêt ! tant pis pour ma réputation de caïd.
- armé d'un gros galet et de son fameux foulard des castors juniors, il opère un très efficace pansement compressif qui jugule pour un temps un début d'hémorragie.
- marche de retour à cloche-pied qui ressemble à un chemin de croix.
- on a toujours besoin de plus petit que soi !
- nous décidons un départ en rando dans les Gorges du Verdon ( coin isolé, pas de connexion, pas de secours). Préparation, matos ( tout l'inutile, rien d'essentiel)
- mon jeune frère insiste pour emmener son... couteau suisse, son foulard de patrouille.
-Je me moque de ses habitudes tenaces de boyscout! mais consent tt de même.
- Partis tôt, nous cheminons, (description du paysage - vue, odorat, ouïe,toucher...), faisons des arrêts( plaisanteries...)
- au bord d'un ruisseau limpide qui serpente le long du chemin, nous nous dechaussons pour faire trempette(decrire)--soudain, je pousse un cri aigu, douleur fulgurante dans le pied et la jambe. l'eau se teinte de rouge
- réflexe de secouriste, mon cadet ausculte, palpe, tâte la plaie. Je geint de douleur ( tt de même je ne vais pas glapir comme une damoiselle !!)
- un tesson de bouteille aussi transparent que l'eau s'est enfoncé sous la plante du pied occasionnant une belle coupure. Impossible d'obtenir une connexion quelconque dans ce décors désertique
-mon boyscout de frère ne s'affole pas, sort le précieux couteau, le désinfecte d'une rincée d'eau-de-vie de coing( tradition familiale héritée de mon grand-père) et entame mon pied tel un chirurgien opérant depuis le berceau. Il nettoie la plaie d'une nouvelle rasade qui, cette fois m'arrache un hullulement de Beagle à l'arrêt ! tant pis pour ma réputation de caïd.
- armé d'un gros galet et de son fameux foulard des castors juniors, il opère un très efficace pansement compressif qui jugule pour un temps un début d'hémorragie.
- marche de retour à cloche-pied qui ressemble à un chemin de croix.
- on a toujours besoin de plus petit que soi !
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