Bonjour
frérot,
Il y a
fort longtemps que je ne t’ai plus écrit car dans ce camp je n’ai pas une
minute de repos. Nous avons cours le matin et durant l’après-midi nous devons toujours participé à une activité obligatoire.
N’est-ce pas ignoble ?
Bon, aujourd’hui je n’ai pas suivit correctement
les cours en écrivant cette lettre à la place de faire mes devoirs car la
veille tu m’avais beaucoup manqué. Vois-tu nous avions organisé un chasse aux œufs
comme nous avions l’habitude de le faire les années précédentes. L’idée que cette
année vous aviez dû le faire sans moi m’a mortifié. Je prenais tant de plaisir,
à peindre avec toi des motifs amusant sur la coquille des œufs, à regarder les œuvres
d’art que tu créais et à t’aider à tromper ta création dans la teinture.Je me remémoré tout ses bons souvenirs en ramassant des oeufs industriels lorsque l'idée horrible que tu puisse encore m'en vouloir pour l'an dernier lorsque je t'ai grondé car tu à renverser la teinture m'a subjuguer. Es-tu d'accord de me pardonner? Je t'ai dit que tous ses souvenirs m'ont emplit de tristesse, mais c'est parce que tu me manques. Le camps n'est pas si horrible!
Profite bien de tes vacances et de la fête.
Ton grand-frère qui t'aime.
