J'ai prit le temps de faire un brouillon avant n'hésite pas à changer des truçs si tu veut je l'avais fais en 5ème je garde tout mes cours.
Un jour, deux chevaliers qui se prénommaient l’un Tristan et l’autre François voulaient
combattre pour voir lequel d’entre eux était le plus fort. Le vainqueur serait pour eux
le meilleur de tous. Ils se donnèrent rendez-vous dans la forêt la plus proche.
Le jour venu, les deux chevaliers se placèrent face à face et se regardèrent d’un oeil méprisant.
« Je vais gagner le combat, et je serais le meilleur ! >> dit François
Il avait amené sa femme Antoinette pour le soutenir. Antoinette avait un visage rond, un peu potelé. Ses yeux étaient d'un bleu ciel magnifique. Elle avait un fin nez et une petite bouche. Elle était grande, et avait une longue chevelure brune .
C’est alors qu’elle donna le début du combat et dit :
«3, 2, 1, Le combat commence ! >> Il fut très violent. Le chevalier Tristan, prit sa
lance à la main et se protégea avec son écu. Le chevalier François s'empara de son épée et essaya de l’enfoncer dans le ventre de son adversaire. Mais malheureusement pour lui le
chevalier Tristan était bien protégé, et celui-ci, à son tour, enfonça sa lance dans le ventre du chevalier François. Tout à coup, le heaume du chevalier François tomba : Tristan en profita alors pour lui rentrer son épée dans le crâne, et lui trancha le cerveau. Sous le choc, Antoinette s'évanouit. Fier d’avoir gagné son combat le chevalier Tristan partit comme si rien ne s’était passé et laissa les deux corps dans la forêt.
Des heures passèrent, personne n'avait trouvé les corps. Mais pendant sa promenade à
cheval, le comte de Limors les trouva.
Il vit par terre le chevalier, il tâta son pouls mais il ne battait plus .Il était mort. Il
vit la dame qui, elle, n’était pas morte. Elle s'était évanouie sous le choc.
Dès qu’il vit la dame, il tomba sous son charme. Pour lui, elle était parfaite. Il la
secoua et lui dit :
« Vous allez bien ? Que s’est-il passé ? »
Elle lui raconta en détail la scène, mais il s’en moquait un peu. Lui, ce qu’il voulait, c’était
l’épouser. Il lui dit :
<< Ça a dû être terrible. Je pourrais vous faire oublier ce qu’il vient de se passer, si vous
acceptiez de m’épouser. Je vous donnerais tous ce que vous désirez. J’ai un grand château avec plusieurs servantes, elles seront toujours à votre service.
-Quoi ? Mais c’est idiot ! Je vous connais à peine, et tout votre argent ne m’intéresse
point. >>
Le comte de Limors la supplia car pour lui c’était la femme qui lui fallait. Mais elle refusa.
De force, il fit emporter le corps du chevalier François et ramena la dame au château.
Plusieurs jours passèrent et le comte de Limors épousa la dame contre sa volonté.
Tous les jours, Antoinette vint pleurer devant le corps de son mari.
