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Bonjour
Je dirai que dans tous ces textes, il y a une notion de contrainte et de liberté, ainsi que l évolution dans le temps, donc voici une petite aide pour ton développement :
"Quand vous serez bien vieille", titre typique à l évolution dans le temps, l auteur utilise la cruauté pour intensifier la vieillesse, et différents temps sont utilisés. Cependant, la fin tragique arrive.
Pour la plupart des autres textes, la contrainte impose une limite à la liberté, sur le plan individuel et collectif. En effet, toute contrainte semble porter atteinte à l’exercice de la liberté. De même,toute disparition de contrainte passe pour avoir un effet libérateur. Ainsi, dans "Les joujous du pauvre", toute description du miséreux est péjorative, alors que tout est facile pour le riche , celui-ci disposera d’une liberté de mouvement qui fera qu’il se sentira libre.
D’autre part la propagande est une forme de "non liberté". Elle st exercée sur l’opinion de l’individu pour l’amener à avoir certaines idées politiques et sociales, à soutenir une politique, un gouvernement ou encore un représentant. Par exemple, dans "Le dormeur du Val", ce poème montre un véritable contraste entre la vie, ici symbolisée par la nature et la beauté, et la mort, symbolisée par le soldat et donc reliée à la guerre. Le tableau de ce jeune homme mort dans une nature pleine de vie permet à Rimbaud de dénoncer les horreurs de la guerre.
Dans "la cravate et la montre", la cravate est le signe d une allégorie des règles de vie contraignant les individus. Apollinaire nous fait remarquer que l acte de délivrance est indispensable pour se libérer des contraintes sociales.
La montre est l'allégorie du temps qui passe, de l évolution dans le temps, de l'éclosion de la vie à sa fin inéluctable.
Etant donné que cet individu aurait une toute autre opinion, il n’est pas libre. C’est une autre personne qui "dirige son esprit". De même pour les régimes dictatoriaux. L’individu n’est pas libre de ses actes et surtout de penser ce qu’il veut. Aucune forme de contestation n’étant tolérée, il est contraint de se plier aux exigences du dictateur. Dans ces deux cas, la liberté (ici le libre arbitre) n’est plus présente.
Mais l’absence de contrainte ne saurait caractériser la liberté de façon satisfaisante. Il est évident que c’est une condition de possibilité de la liberté. Cette condition est nécessaire mais pas suffisante.
La liberté est définie par la contrainte, liberté et contrainte sont donc intimement liées. C'est-à-dire qu’il ne peut y avoir aucune forme de liberté sans la contrainte car ce sont ces dernières qui rendent possible la liberté. Sans la contrainte, la liberté n’aurait pas de sens pour nous puisque nous n’aurions aucune emprise surelle.
En effet, l’absence de contrainte laisse le champ libre à la réalisation de tous nos désirs, de toutes nos actions, au dépend de l’autre. Or l’homme vit en société avec l’autre. Il nous faut donc trouver le juste milieu entre nos souhaits et le respect de nos semblables. C’est pour cela que l’on doit se maîtriser en exerçant une forme de contrainte sur notre nature, nos réactions… Car c’est par le respect des lois naturelles et sociales qu’il nous est possible d’avoir accès à une certaine forme de liberté.
La voie de la liberté est selon Sartre une conduite qui se réalise en fonction du sens que l’on veut donner à sa vie. La liberté s’affirme par un choix. Chaque individu choisit ou décide en fonction de ce qu’il souhaite faire de son existence. Il se pose alors les contraintes pour arriver à son but. La discipline personnelle est alors porteuse de liberté.
Il faut donc bien se garder de définir la liberté comme absence de contraintes, car il semble vrai que le laxisme, que définit précisément l’absence de contraintes, s’avère être le pire ennemi de la liberté. Ainsi, nous pouvons affirmer que la liberté et la contrainte sont compatibles.
Je dirai que dans tous ces textes, il y a une notion de contrainte et de liberté, ainsi que l évolution dans le temps, donc voici une petite aide pour ton développement :
"Quand vous serez bien vieille", titre typique à l évolution dans le temps, l auteur utilise la cruauté pour intensifier la vieillesse, et différents temps sont utilisés. Cependant, la fin tragique arrive.
Pour la plupart des autres textes, la contrainte impose une limite à la liberté, sur le plan individuel et collectif. En effet, toute contrainte semble porter atteinte à l’exercice de la liberté. De même,toute disparition de contrainte passe pour avoir un effet libérateur. Ainsi, dans "Les joujous du pauvre", toute description du miséreux est péjorative, alors que tout est facile pour le riche , celui-ci disposera d’une liberté de mouvement qui fera qu’il se sentira libre.
D’autre part la propagande est une forme de "non liberté". Elle st exercée sur l’opinion de l’individu pour l’amener à avoir certaines idées politiques et sociales, à soutenir une politique, un gouvernement ou encore un représentant. Par exemple, dans "Le dormeur du Val", ce poème montre un véritable contraste entre la vie, ici symbolisée par la nature et la beauté, et la mort, symbolisée par le soldat et donc reliée à la guerre. Le tableau de ce jeune homme mort dans une nature pleine de vie permet à Rimbaud de dénoncer les horreurs de la guerre.
Dans "la cravate et la montre", la cravate est le signe d une allégorie des règles de vie contraignant les individus. Apollinaire nous fait remarquer que l acte de délivrance est indispensable pour se libérer des contraintes sociales.
La montre est l'allégorie du temps qui passe, de l évolution dans le temps, de l'éclosion de la vie à sa fin inéluctable.
Etant donné que cet individu aurait une toute autre opinion, il n’est pas libre. C’est une autre personne qui "dirige son esprit". De même pour les régimes dictatoriaux. L’individu n’est pas libre de ses actes et surtout de penser ce qu’il veut. Aucune forme de contestation n’étant tolérée, il est contraint de se plier aux exigences du dictateur. Dans ces deux cas, la liberté (ici le libre arbitre) n’est plus présente.
Mais l’absence de contrainte ne saurait caractériser la liberté de façon satisfaisante. Il est évident que c’est une condition de possibilité de la liberté. Cette condition est nécessaire mais pas suffisante.
La liberté est définie par la contrainte, liberté et contrainte sont donc intimement liées. C'est-à-dire qu’il ne peut y avoir aucune forme de liberté sans la contrainte car ce sont ces dernières qui rendent possible la liberté. Sans la contrainte, la liberté n’aurait pas de sens pour nous puisque nous n’aurions aucune emprise surelle.
En effet, l’absence de contrainte laisse le champ libre à la réalisation de tous nos désirs, de toutes nos actions, au dépend de l’autre. Or l’homme vit en société avec l’autre. Il nous faut donc trouver le juste milieu entre nos souhaits et le respect de nos semblables. C’est pour cela que l’on doit se maîtriser en exerçant une forme de contrainte sur notre nature, nos réactions… Car c’est par le respect des lois naturelles et sociales qu’il nous est possible d’avoir accès à une certaine forme de liberté.
La voie de la liberté est selon Sartre une conduite qui se réalise en fonction du sens que l’on veut donner à sa vie. La liberté s’affirme par un choix. Chaque individu choisit ou décide en fonction de ce qu’il souhaite faire de son existence. Il se pose alors les contraintes pour arriver à son but. La discipline personnelle est alors porteuse de liberté.
Il faut donc bien se garder de définir la liberté comme absence de contraintes, car il semble vrai que le laxisme, que définit précisément l’absence de contraintes, s’avère être le pire ennemi de la liberté. Ainsi, nous pouvons affirmer que la liberté et la contrainte sont compatibles.
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