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Par exemple une fille peut faire un geste que le garcon vas mal comprendre ou l'inverse, si par exemple le garcon est attirée par la fille et qu'elle fais un geste ( non voulu ) le garcon peut comprendre que la fille veut de lui. S'ensuit une histoire
L'expérience montre qu'en classe, le plus souvent, les filles sont bien plus sérieuses et bien meilleures élèves que leurs camarades masculins du même âge. C'est déjà un premier sujet de frictions !
Elles sont généralement plus cultivées, lisent davantage... mais cherchent aussi - c'est humain - à attirer discrètement l'attention des garçons. Les garçons aussi, mais de façon bien plus lourde et vantarde. Ils sont superficiels, alors que les filles sont plus sentimentales et naïves. Elles n'interprèteront donc pas de la même manière un gage d'amitié ou une promesse d'amour, par exemple, par rapport aux garçons, moins démonstratifs. Autre point de conflit.
Au collège, garçons et filles adorent rester entre eux en classe, deux par deux. Si jamais un professeur met une fille à côté d'un garçon, ou inversement, cela crée autant de frictions que quand on cherche à faire cohabiter un chat et un chien : séparément, ils sont adorables, ensemble c'est la catastrophe.
D'autres conflits peuvent naître aussi parce que les garçons, à l'adolescence, se construisent par opposition (ils rejettent ou enfreignent les règles), alors que pour les filles, c'est par imitation (elles se conforment aux règles établies, le plus souvent, et ne cherchent pas à les braver).
Bien sûr, je généralise un peu, mais peut-être que le sujet veut aussi aborder les rapports souvent compliqués entre frères et soeurs. Il faudra donc penser aussi à cet aspect-là.
Elles sont généralement plus cultivées, lisent davantage... mais cherchent aussi - c'est humain - à attirer discrètement l'attention des garçons. Les garçons aussi, mais de façon bien plus lourde et vantarde. Ils sont superficiels, alors que les filles sont plus sentimentales et naïves. Elles n'interprèteront donc pas de la même manière un gage d'amitié ou une promesse d'amour, par exemple, par rapport aux garçons, moins démonstratifs. Autre point de conflit.
Au collège, garçons et filles adorent rester entre eux en classe, deux par deux. Si jamais un professeur met une fille à côté d'un garçon, ou inversement, cela crée autant de frictions que quand on cherche à faire cohabiter un chat et un chien : séparément, ils sont adorables, ensemble c'est la catastrophe.
D'autres conflits peuvent naître aussi parce que les garçons, à l'adolescence, se construisent par opposition (ils rejettent ou enfreignent les règles), alors que pour les filles, c'est par imitation (elles se conforment aux règles établies, le plus souvent, et ne cherchent pas à les braver).
Bien sûr, je généralise un peu, mais peut-être que le sujet veut aussi aborder les rapports souvent compliqués entre frères et soeurs. Il faudra donc penser aussi à cet aspect-là.
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