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Bonsoir:
en ce qui concerne Camus, je ne vois pas ce qui te bloque.
Dans un premier temps notre "étranger", après le passage où il sait qu'il ne reverra plus Marie, commence alors sa vraie détention. Les premiers jours, il peine encore à la considérer comme telle. Il est encore peut-être dans un ailleurs mental, une espèce de refus de voir les choses , j'allais dire d'anti sidération au sens propre. (je ne sais pas si ce que je dis est très compréhensible !!) Il n'est pas conscient ou ne veut surtout pas l'être; il rêve de liberté comme si de rien n'était avec une presque naïveté et une dureté associée. Ses écrits sont contradictoires :
"c'est à partir de ce moment....dont je n'ai jamais aimé parler"<>"De toute façon.....plus facile qu'à d'autres.
Juste avant le début de la 1ère phrase " Au début de ma détention....
Lis bien le texte, et tu vas voir que ce ne sont que des suites de contradictions, qu'il aménage à sa façon , qu'il fait en sorte de minimiser.
Au début , il a des pensées d'homme libre, va jusqu'à parler de vagues, d'eau, et même de délivrance (sur plusieurs lignes) pour en une expression courte dire qu'il sentait combien les murs se rapprochaient.
Puis que des pensées de prisonnier. Une phrase plus loin "Je m'arrangeais très bien avec le reste du temps"
Meursault semble apathique, comme s'il était étranger à ce qu'il vit. Il n'a pas de réelles émotions, il semble passif, il subit sa vie,où il la vit en-dehors de lui. La construction des phrase ne suscitent pas de réelles émotions non plus, à l'image de Meursault. Du moins dans ce court passage. La narration est relativement plate, sans figure de style à proprement parler, comme l'est Meursault.
Bref, c'est mon analyse, essaie de faire la part des choses, car je pense que chacun peut réagir différemment selon son interprétation et sa propre histoire, ses propres émotions.
Camus a en général suscité des sentiments bien différents chez ses lecteurs.
Je t'ai peut-être un peu aidé. (je l'espère)
A toi de t'y mettre.
En ce qui concerne "La chanson de Roland" , je ne peux pas. Pas étudié et pas réussi à le lire tout seul, j'avoue. (je ne viens que de finir ma 3éme; donc ce que je te dis , c'est plus autodidacte que appris en cours.....)
courage :)
bonne chance
en ce qui concerne Camus, je ne vois pas ce qui te bloque.
Dans un premier temps notre "étranger", après le passage où il sait qu'il ne reverra plus Marie, commence alors sa vraie détention. Les premiers jours, il peine encore à la considérer comme telle. Il est encore peut-être dans un ailleurs mental, une espèce de refus de voir les choses , j'allais dire d'anti sidération au sens propre. (je ne sais pas si ce que je dis est très compréhensible !!) Il n'est pas conscient ou ne veut surtout pas l'être; il rêve de liberté comme si de rien n'était avec une presque naïveté et une dureté associée. Ses écrits sont contradictoires :
"c'est à partir de ce moment....dont je n'ai jamais aimé parler"<>"De toute façon.....plus facile qu'à d'autres.
Juste avant le début de la 1ère phrase " Au début de ma détention....
Lis bien le texte, et tu vas voir que ce ne sont que des suites de contradictions, qu'il aménage à sa façon , qu'il fait en sorte de minimiser.
Au début , il a des pensées d'homme libre, va jusqu'à parler de vagues, d'eau, et même de délivrance (sur plusieurs lignes) pour en une expression courte dire qu'il sentait combien les murs se rapprochaient.
Puis que des pensées de prisonnier. Une phrase plus loin "Je m'arrangeais très bien avec le reste du temps"
Meursault semble apathique, comme s'il était étranger à ce qu'il vit. Il n'a pas de réelles émotions, il semble passif, il subit sa vie,où il la vit en-dehors de lui. La construction des phrase ne suscitent pas de réelles émotions non plus, à l'image de Meursault. Du moins dans ce court passage. La narration est relativement plate, sans figure de style à proprement parler, comme l'est Meursault.
Bref, c'est mon analyse, essaie de faire la part des choses, car je pense que chacun peut réagir différemment selon son interprétation et sa propre histoire, ses propres émotions.
Camus a en général suscité des sentiments bien différents chez ses lecteurs.
Je t'ai peut-être un peu aidé. (je l'espère)
A toi de t'y mettre.
En ce qui concerne "La chanson de Roland" , je ne peux pas. Pas étudié et pas réussi à le lire tout seul, j'avoue. (je ne viens que de finir ma 3éme; donc ce que je te dis , c'est plus autodidacte que appris en cours.....)
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