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Bonjour,
Il y a de très nombreux indices, mais ils sont disséminés tout au long du texte.
- Angèle connaissait l'infidélité de son mari, son amie lui ayant fait plusieurs "discrètes" allusions.
- Angèle a été bouleversée d'apprendre que le fils de Germaine Richard était blond aux yeux bleus (donc comme son mari Baptiste), alors que son "père" officiel (le mari de Germaine Richard) est un colosse aux yeux et aux cheveux noirs. Là, elle avait la preuve de l'adultère.
- Angèle servait le café à son mari, mais elle-même n'en buvait jamais. Au retour du cimetière, elle nettoie bien les tasses et replace soigneusement la cafetière - elle efface les derniers indices du meurtre avec préméditation.
- car la mort de Baptiste, officiellement due à ses ulcères, a en réalité été déclenchée à petit feu par l'arsenic, dont la boîte est "aux trois quarts vide", alors que ça fait bien vingt ans qu'on n'avait pas vu un seul rat dans la maison. Le poison a donc été soigneusement dilué dans le café, pendant vingt ans, de façon à pouvoir réussir le crime parfait sans éveiller le moindre soupçon. Le médecin n'y a vu que du feu, et Baptiste lui-même, terrifié à l'idée de devoir aller à l'hôpital, avait fait jurer à Adèle qu'elle ne l'y emmènerait jamais, empêchant ainsi que des examens médicaux poussés ne révèlent la vérité.
Il y a de très nombreux indices, mais ils sont disséminés tout au long du texte.
- Angèle connaissait l'infidélité de son mari, son amie lui ayant fait plusieurs "discrètes" allusions.
- Angèle a été bouleversée d'apprendre que le fils de Germaine Richard était blond aux yeux bleus (donc comme son mari Baptiste), alors que son "père" officiel (le mari de Germaine Richard) est un colosse aux yeux et aux cheveux noirs. Là, elle avait la preuve de l'adultère.
- Angèle servait le café à son mari, mais elle-même n'en buvait jamais. Au retour du cimetière, elle nettoie bien les tasses et replace soigneusement la cafetière - elle efface les derniers indices du meurtre avec préméditation.
- car la mort de Baptiste, officiellement due à ses ulcères, a en réalité été déclenchée à petit feu par l'arsenic, dont la boîte est "aux trois quarts vide", alors que ça fait bien vingt ans qu'on n'avait pas vu un seul rat dans la maison. Le poison a donc été soigneusement dilué dans le café, pendant vingt ans, de façon à pouvoir réussir le crime parfait sans éveiller le moindre soupçon. Le médecin n'y a vu que du feu, et Baptiste lui-même, terrifié à l'idée de devoir aller à l'hôpital, avait fait jurer à Adèle qu'elle ne l'y emmènerait jamais, empêchant ainsi que des examens médicaux poussés ne révèlent la vérité.
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