Bonsoir, il faut que tu démontres que Zola fait de l'alambic une description tragiquement connotée : il ressemble à une invention diabolique, malfaisante, car on passe des "récipients de forme étrange", des "enroulements sans fin de tuyaux", à une sorte de créature fantastique, vivante ("souffle intérieur", "ronflement souterrain"), mais aussi sournoise et très dangereuse. Gervaise est d'ailleurs "prise d'un frisson", elle recule (de peur, d'angoisse), tout en essayant de sourire pour dissimuler sa peur, et parle du "froid" de la machine - symbole de la mort.