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Bonjour, tout d'abord Maupassant insiste :
- sur la jeunesse et l'énergie de Mme d'Hubières : "une jeune femme qui conduisait elle-même" ; "et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants..." ;
- sur l'instinct de maternité contrariée de la jeune femme riche, car elle n'a pas d'enfants, probablement parce que son mari est stérile ("accoutumé à ces admirations qui étaient une douleur et presque un reproche pour lui"), d'ailleurs il reste toujours dans le carrosse, il n'en descend jamais.
- sur le fait que la jeune femme considère les enfants un peu comme des chiots ou des chatons ("Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit"), et elle les... apprivoise à grands coups de bonbons, de gâteaux, de visites régulières (d'abord une fois par semaine, puis tous les jours) et de jeux.
- sur la différence sociale : elle s'abaisse pour se mettre au niveau des petits pauvres, d'abord en sautant à terre de son fiacre, puis en prenant un petit dans ses bras malgré sa saleté (joues sales, cheveux blonds pommadés de terre), et enfin en s'asseyant elle-même par terre.
- sur la différence financière : elle bourre son petit favori de gâteaux, tous les autres de bonbons, grand luxe pour ceux qui se nourrissent juste "de pain molli dans l'eau où avaient cuit les pommes de terre, un demi chou et trois oignons". Et une fois qu'elle a fait la rencontre des parents, elle les amadoue également grâce aux poches "pleines de friandises et de sous".
- sur la jeunesse et l'énergie de Mme d'Hubières : "une jeune femme qui conduisait elle-même" ; "et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants..." ;
- sur l'instinct de maternité contrariée de la jeune femme riche, car elle n'a pas d'enfants, probablement parce que son mari est stérile ("accoutumé à ces admirations qui étaient une douleur et presque un reproche pour lui"), d'ailleurs il reste toujours dans le carrosse, il n'en descend jamais.
- sur le fait que la jeune femme considère les enfants un peu comme des chiots ou des chatons ("Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit"), et elle les... apprivoise à grands coups de bonbons, de gâteaux, de visites régulières (d'abord une fois par semaine, puis tous les jours) et de jeux.
- sur la différence sociale : elle s'abaisse pour se mettre au niveau des petits pauvres, d'abord en sautant à terre de son fiacre, puis en prenant un petit dans ses bras malgré sa saleté (joues sales, cheveux blonds pommadés de terre), et enfin en s'asseyant elle-même par terre.
- sur la différence financière : elle bourre son petit favori de gâteaux, tous les autres de bonbons, grand luxe pour ceux qui se nourrissent juste "de pain molli dans l'eau où avaient cuit les pommes de terre, un demi chou et trois oignons". Et une fois qu'elle a fait la rencontre des parents, elle les amadoue également grâce aux poches "pleines de friandises et de sous".
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