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Bonjour,
Texte 1 : âgé de treize ans, le narrateur, surpris par la pluie au retour de la plage avec son père, doit parcourir le plus vite possible les deux kilomètres qui le séparent de l'Aber. Son père s'élance au pas de course, sans l'attendre. L'enfant tente de combler l'écart, s'essouffle, retire ses chaussures de plage pour courir pieds nus. Épuisé mais triomphant, heureux de son exploit, l'enfant attend un compliment de son père... qui l'humilie en déclarant que son frère aurait fait bien mieux, sur tous les plans.
Le groupe nominal qui résume l'humiliation infligée par le père : "le pénible épisode".
Texte 2 :
Le Prix Goncourt est le plus prestigieux des prix littéraires décernés en France. Un écrivain ne peut l'obtenir qu'une seule fois dans toute sa vie (sauf Romain Gary, qui l'a obtenu deux fois, une fois à son nom et une fois sous le pseudonyme d'Emile Ajar). Le Prix Goncourt doit son nom aux frères Jules et Edmond Goncourt, et il est décerné tous les ans fin octobre ou début novembre. Le prix en lui-même n'a pas beaucoup de valeur (chèque de 50 €...), mais il assure un tirage d'au moins cent mille exemplaires du livre, sans parler de la publicité générée et de l'intérêt médiatique.
Dans les deux récits, les narrateurs font état d'une communication difficile avec leurs pères respectifs, d'une incompréhension et d'un égoïsme de ces derniers, de sorte qu'ils sont amèrement déçus.
Dans le second texte, Yann Queffélec pique même une violente crise de rage, au point qu'il détruit le téléphone de la cabine publique. Car son père lui fait clairement comprendre que son fils lui fait perdre son temps, alors qu'il n'a pas que cela à faire (- J'ai du boulot, p'tit vieux, raccroche.) ; loin de le féliciter, il lui fait comprendre qu'il s'en moque, que lui-même passe avant.
Dans le premier texte, l'enfant se reproche d'avoir manqué de sagesse, d'avoir voulu quémander un peu de reconnaissance et d'estime paternelles, alors que son père est trop exigeant et trop peu démonstratif : cela ne lui aurait absolument rien coûté d'encourager un peu son fils.
Texte 1 : âgé de treize ans, le narrateur, surpris par la pluie au retour de la plage avec son père, doit parcourir le plus vite possible les deux kilomètres qui le séparent de l'Aber. Son père s'élance au pas de course, sans l'attendre. L'enfant tente de combler l'écart, s'essouffle, retire ses chaussures de plage pour courir pieds nus. Épuisé mais triomphant, heureux de son exploit, l'enfant attend un compliment de son père... qui l'humilie en déclarant que son frère aurait fait bien mieux, sur tous les plans.
Le groupe nominal qui résume l'humiliation infligée par le père : "le pénible épisode".
Texte 2 :
Le Prix Goncourt est le plus prestigieux des prix littéraires décernés en France. Un écrivain ne peut l'obtenir qu'une seule fois dans toute sa vie (sauf Romain Gary, qui l'a obtenu deux fois, une fois à son nom et une fois sous le pseudonyme d'Emile Ajar). Le Prix Goncourt doit son nom aux frères Jules et Edmond Goncourt, et il est décerné tous les ans fin octobre ou début novembre. Le prix en lui-même n'a pas beaucoup de valeur (chèque de 50 €...), mais il assure un tirage d'au moins cent mille exemplaires du livre, sans parler de la publicité générée et de l'intérêt médiatique.
Dans les deux récits, les narrateurs font état d'une communication difficile avec leurs pères respectifs, d'une incompréhension et d'un égoïsme de ces derniers, de sorte qu'ils sont amèrement déçus.
Dans le second texte, Yann Queffélec pique même une violente crise de rage, au point qu'il détruit le téléphone de la cabine publique. Car son père lui fait clairement comprendre que son fils lui fait perdre son temps, alors qu'il n'a pas que cela à faire (- J'ai du boulot, p'tit vieux, raccroche.) ; loin de le féliciter, il lui fait comprendre qu'il s'en moque, que lui-même passe avant.
Dans le premier texte, l'enfant se reproche d'avoir manqué de sagesse, d'avoir voulu quémander un peu de reconnaissance et d'estime paternelles, alors que son père est trop exigeant et trop peu démonstratif : cela ne lui aurait absolument rien coûté d'encourager un peu son fils.
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