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Bonjour,
La guerre est une situation extrême puisqu’elle intervient lorsque le dialogue est rompu, que les négociations entre plusieurs parties sont arrivées à une impasse et que le désaccord est total. Diverses situations conduisent à la guerre mais il faut savoir qu’il n’y a pas de phase supérieure à la guerre : elle met en avant l’échec profond de la politique et pourrait être appréhendée si des instances ou des personnes morales ou physiques se mettaient en œuvre pour éviter ces désagréments.
Lorsque Carl Schmitt avance « la guerre est ce moyen extrême de la politique », il met en avant que cette situation marque avant tout un échec mais surtout qu’elle intervient dès lors que la politique est défaillante. Ce point ultime, défaite de la diplomatie est néanmoins ancré dans le système politique. Comme l’avance Schmitt, la guerre est cette solution dès lors que toutes les issues sont fermées, tout en gardant l’idée, de par l’adjectif extrême qu’elle n’est pas à prendre comme moyen commun.
Le problème mis en avant par la guerre est aussi celui donné à la politique. En effet, la guerre n’est pas nécessaire dans le sens ou celle ci relève de l’arbitraire. Elle est le fruit de volontés personnelles : la volonté d’étendre un empire pouvant servir d’exemple. En outre, elleconcerne bien une oligarchie alors qu’elle se répercute sur tout un peuple. Il est de l’ordre du pouvoir de préserver son peuple de la guerre et de ses horreurs, à savoir que des instances peuvent la prévenir.
La guerre est un fait de société qui dépasse la simple stratégie guerrière. Derrière le feu des combats se cache de multiples symboles. Se demander si il est nécessaire de faire la guerre revient à se questionner sur le propos de la guerre. Celle-ci n’est pas anodine : elle amène à la mort et au cataclysme. Elle se répercute sur un tout alors qu’elle dépend d’une minorité singulière parfois épaulée par tout un peuple : défendre libertés et nation devient une considération pour entrer dans le conflit. L’homme reste au centre des préoccupations liées à la guerre : sa propension à la destruction rend la guerre inévitable. De part des tenants et aboutissants trop graves, la guerre n’est pas nécessaire puisque des instances pourraient la prévenir. Il est alors du ressort des différentes nations de coopérer et surtout dialoguer afin de garder un contact permanent lui même générateur de paix. John Locke prévoyait lors de la séparation des pouvoirs la création du pouvoir confédératif, basé sur les relations internationales dont la fonction serait de rapprocher les Etats pour maintenir un climat de paix.
La guerre est une situation extrême puisqu’elle intervient lorsque le dialogue est rompu, que les négociations entre plusieurs parties sont arrivées à une impasse et que le désaccord est total. Diverses situations conduisent à la guerre mais il faut savoir qu’il n’y a pas de phase supérieure à la guerre : elle met en avant l’échec profond de la politique et pourrait être appréhendée si des instances ou des personnes morales ou physiques se mettaient en œuvre pour éviter ces désagréments.
Lorsque Carl Schmitt avance « la guerre est ce moyen extrême de la politique », il met en avant que cette situation marque avant tout un échec mais surtout qu’elle intervient dès lors que la politique est défaillante. Ce point ultime, défaite de la diplomatie est néanmoins ancré dans le système politique. Comme l’avance Schmitt, la guerre est cette solution dès lors que toutes les issues sont fermées, tout en gardant l’idée, de par l’adjectif extrême qu’elle n’est pas à prendre comme moyen commun.
Le problème mis en avant par la guerre est aussi celui donné à la politique. En effet, la guerre n’est pas nécessaire dans le sens ou celle ci relève de l’arbitraire. Elle est le fruit de volontés personnelles : la volonté d’étendre un empire pouvant servir d’exemple. En outre, elleconcerne bien une oligarchie alors qu’elle se répercute sur tout un peuple. Il est de l’ordre du pouvoir de préserver son peuple de la guerre et de ses horreurs, à savoir que des instances peuvent la prévenir.
La guerre est un fait de société qui dépasse la simple stratégie guerrière. Derrière le feu des combats se cache de multiples symboles. Se demander si il est nécessaire de faire la guerre revient à se questionner sur le propos de la guerre. Celle-ci n’est pas anodine : elle amène à la mort et au cataclysme. Elle se répercute sur un tout alors qu’elle dépend d’une minorité singulière parfois épaulée par tout un peuple : défendre libertés et nation devient une considération pour entrer dans le conflit. L’homme reste au centre des préoccupations liées à la guerre : sa propension à la destruction rend la guerre inévitable. De part des tenants et aboutissants trop graves, la guerre n’est pas nécessaire puisque des instances pourraient la prévenir. Il est alors du ressort des différentes nations de coopérer et surtout dialoguer afin de garder un contact permanent lui même générateur de paix. John Locke prévoyait lors de la séparation des pouvoirs la création du pouvoir confédératif, basé sur les relations internationales dont la fonction serait de rapprocher les Etats pour maintenir un climat de paix.
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