1) L'agneau est décrit comme étant innocent.
2) La faim fait l'objet d'une personnification. Elle est décrite comme étant un instinct contre lequel le loup ne peut pas lutter.
3) Il tente de démontrer qu'il ne gêne pas le loup qui veut également se désaltérer dans la rivière.
Il utilise des charnières du discours, "mais" "et que par conséquent", "en aucune façon", le subjonctif "puis" et le modalisateur "plutôt" permettant de nuancer le discours.
4) Il fait preuve de mauvaise foi et refuse de reconnaître son tord. Il s'acharne sur la famille de l'agneau en voulant la rendre coupable et la présentant comme étant provocatrice.
5) V 1: la raison du plus fort est toujours la meilleure. Les plus forts s'en prennent aux plus bas au sein de la société. Les plus aisés, c'est-à -dire ceux qui occupent les hauts fonctions de la société se croient au-dessus des lois et ont toujours raison.