Philippe Bouvard dénonce à travers l’ironie un comportement plutôt
anti social de la femme envers l'homme.
Il emploi énormément de figures de style comme la
personnification, la comparaison, le chiasme (Julie traitait ses hommes comme
des chiens … elle parle à son chien comme à un homme),l’hyperbole (par
peur de la famine)…
Le début de la dernière phrase montre l’opposition entre les
difficiles relations humaines et la fidélité de l' animal.
La suite est un formidable jeu de mots avec « Continuellement
arrimé à son fauteuil par une laisse, lui est très attaché » où se mélange
un lien physique et réel à un sentiment.