Il galopa au delà des limbes sombre de la forêt. Il laissa le vent lui gifler les joues rougit par le froid glacial qui régnait sur tous le pays, l'air lui oppresser les poumons à chaque inhalations, et laissa le feuillage dense se rabattre sur son visage. Il lui fallait cette épée avant que ce perfide traître ne franchisse ses frontières. Que dirait le Seigneur s'il apprenait qu'une épée fut voler de sa propre artillerie, sous l’œil vigilant de ses gardes, qui plus est, ils étaient tous armés jusqu'aux dents. La forêt fut bien vite remplacée par une clairière fraîchement éclairer. Il était là, dresser sur son cheval d'un noir ébène, qui fut probablement voler comme son arme. Ses iris semblait le transpercer. Sa rage fulminante s'émanait et gravitait autour de lui, le chevalier impatient s'élança sur son ennemis avec un cri empli de rage. Arme en main, comme lors d'un combat de joute, les deux chevaux s'élancèrent l'un vers l'autre, tel deux taureaux déchaîner. Rien, ni personne ne semblait pouvoir les arrêter. Une nouvelle tentative qui montrait la hardiesse et l'audace des deux jeune homme, mais elle échoua bien vite. Ils restèrent ainsi, à se contempler en chien de faïence, à savoir qui des deux allaient déposer armes à terre. Mais ce que l'homme sur le cheval noir ne savait probablement pas, c'est que le chevalier vit bon nombre de combats s'achevés sous ses yeux qui semblent pourtant si innocent. De ce fait, il connaissait toutes les manière de gagner. Lorsqu'il fit faire un pas en avant à sa monture, il abaissa son arme au niveau des jambes de l'animal, se maudissant de tuer une pauvre et innocente bête. Le traître à terre, il lui enfonça l'épée précédemment récupéré dans son flan et le fixa d'un œil mauvais pris de convulsions et cracher son propre sang son l'herbe qui fut immaculé.
Dis-moi si ça te conviens !
