bonsoir,
Une foret profonde ou se noyait le regard
Sur la rive du désespoir et de l'oubli
Un vieux manoir surgissait de nulle part
Dans un écrin lugubre ou règnait la magie.
Sombres couloirs bordés de vivants candélabres
Visages de granit aux inhumains regards.
Tous évoquait l'enfer dans ce château macabre
Qui emmurait mon cœur de ses épais remparts.