5) Les humains sont déshumanisés dans ce passage car le narrateur n'utilise que des parties de corps humains qui fouillent dans les articles. Les clients ne sont plus considérés comme des humains mais plutôt comme des robots qui gardent incessamment le même geste machinal.
7) a. Les paroles du personnage sont rapportées par discours direct.
b. Les enfants utilisent une phrase interrogative. Leur donner la parole montre leur jalousie envers les autres enfants qui ont les moyens de s'acheter ce qu'ils veulent alors qu'eux, doivent faire attention à chaque article acheté. Ils tentent néanmoins de convaincre leur père qui est contraint de refuser.
8) A travers ce texte, l'auteur dénonce la société de consommation qui "force" chacun a acheté plus qu'il n'en a besoin et a avoir un désir vital de consommation. Les clients sont déshumanisés dans ce texte, ils achètent des biens qui ne leur sont pas utiles et se précipitent sans raison dans les boutiques, entraînés par la fièvre d'achat. Tout est fait pour pousser le consommateur a acheté plus.
9) Le texte et la sculpture dénoncent tout deux la société de consommation. La sculpture représente une femme avec une apparence repoussante qui n'a, dans son cadis, que de la nourriture grasse et non saine. Cette femme qui, peut-être vit seule, n'achète pas ce qu'elle a vraiment besoin et ne fait plus attention à son corps, sa tenue vestimentaire, son apparence.
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