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Bonjour,
Je vais essayer de t'aider avec grand plaisir car tu as travaillé et c'est formidable ! Bravo à toi !
Comme c'est un récit dans le passé, attention à la concordance des temps alternant entre l'imparfait et le passé simple.
J'ai rajoute ça et là quelques compléments du nom et des adjectifs variés mais sans alourdir la syntaxe (enfin j'ai essayé !!)
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Par une magnifique journée d'été, comme on les aime quand est en vacances, je décidai de m'installer à l'extérieur, sur la terrasse du jardin pour en profiter.
Je m'étalai alors sur le canapé en rotin, au milieu de coussins blancs bien moelleux à l'abri du soleil sous le feuillage imposant d'un catalpa. Bien à mes aises, un grand verre de thé frais à la main je sirotais tranquillement, profitant de ce moment de répit qui s'offrait à moi dans le calme et la sérénité. Je respirai à pleines narines la sève du gazon fraîchement coupé et cette odeur m'enivrait. A quelques pas seulement, cinq hauts albizia rouges formaient un croissant de lune enchanteur dont la ramée laissait filtrer des filets de lumière, leurs boules de fleurs hérissées laissaient onduler, au gré d'une brise légère, les étoiles de soie à leur extrémité qui esquissaient un mouvement léger et parfumé. J'esquissai un sourire tout en ôtant mes sandales pour aller faire une promenade pieds nus sur la pelouse verdoyante. Les brins de graminées me caressaient la plante des pieds et une sensation de bien-être m'envahit.
Ainsi, à pas lents je ne pus m'empêcher d'esquisser quelques pas de danse, je me dirigeai ainsi vers le verger qui se trouvait derrière le rideau de la haie d'hibiscus en boutons gonflés de pétales qui n'allaient pas tarder à laisser s'épanouir leurs corolles. A peine entrée au temple des arbres fruitiers, j'admirai les cerisiers qui portaient leur lourd fardeau de l'été, des fruits encore verts mais dont les grappes commençaient à changer de couleur. De jeunes pommiers prometteurs arboraient fièrement leurs fleurs au coeur à peine rosé. Tout au fond, je distinguai des plants de kiwis qui s'entremêlaient autour d'une palissade dont on apercevait à peine le bois sous l'énorme houppelande de feuillage ambré. Je m'attardai un instant près des framboisiers pour y déguster avec bonheur quelques baies juteuses gorgées de soleil.
Quel délicieux moment ai je passé à rêver lors de cette minuscule escapade au milieu de l'été.
Je vais essayer de t'aider avec grand plaisir car tu as travaillé et c'est formidable ! Bravo à toi !
Comme c'est un récit dans le passé, attention à la concordance des temps alternant entre l'imparfait et le passé simple.
J'ai rajoute ça et là quelques compléments du nom et des adjectifs variés mais sans alourdir la syntaxe (enfin j'ai essayé !!)
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Par une magnifique journée d'été, comme on les aime quand est en vacances, je décidai de m'installer à l'extérieur, sur la terrasse du jardin pour en profiter.
Je m'étalai alors sur le canapé en rotin, au milieu de coussins blancs bien moelleux à l'abri du soleil sous le feuillage imposant d'un catalpa. Bien à mes aises, un grand verre de thé frais à la main je sirotais tranquillement, profitant de ce moment de répit qui s'offrait à moi dans le calme et la sérénité. Je respirai à pleines narines la sève du gazon fraîchement coupé et cette odeur m'enivrait. A quelques pas seulement, cinq hauts albizia rouges formaient un croissant de lune enchanteur dont la ramée laissait filtrer des filets de lumière, leurs boules de fleurs hérissées laissaient onduler, au gré d'une brise légère, les étoiles de soie à leur extrémité qui esquissaient un mouvement léger et parfumé. J'esquissai un sourire tout en ôtant mes sandales pour aller faire une promenade pieds nus sur la pelouse verdoyante. Les brins de graminées me caressaient la plante des pieds et une sensation de bien-être m'envahit.
Ainsi, à pas lents je ne pus m'empêcher d'esquisser quelques pas de danse, je me dirigeai ainsi vers le verger qui se trouvait derrière le rideau de la haie d'hibiscus en boutons gonflés de pétales qui n'allaient pas tarder à laisser s'épanouir leurs corolles. A peine entrée au temple des arbres fruitiers, j'admirai les cerisiers qui portaient leur lourd fardeau de l'été, des fruits encore verts mais dont les grappes commençaient à changer de couleur. De jeunes pommiers prometteurs arboraient fièrement leurs fleurs au coeur à peine rosé. Tout au fond, je distinguai des plants de kiwis qui s'entremêlaient autour d'une palissade dont on apercevait à peine le bois sous l'énorme houppelande de feuillage ambré. Je m'attardai un instant près des framboisiers pour y déguster avec bonheur quelques baies juteuses gorgées de soleil.
Quel délicieux moment ai je passé à rêver lors de cette minuscule escapade au milieu de l'été.
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