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Bonjour,
La discrimination à l’embauche
La discrimination à l'embauche est un fléau de
plus en plus présent dans notre société. Pourtant, aucun motif discriminatoire
n'est toléré via l'article L 1133-1 et L1133-2 du Code du
Travail. Les informations demandées, sous quelque forme que ce soit, à un
candidat lors d'un recrutement doivent uniquement permettre d'apprécier sa
capacité à occuper l'emploi proposé ou ses aptitudes professionnelles. En règle
générale, l'employeur est tenu de respecter certaines règles en matière de
sélection des candidats et ne traiter personne de manière péjorative, pour
l'embauche, la différence serait la race, la femme, la grossesse, le handicap,
la tenue vestimentaire, l'âge, etc... Le racisme est une des formes de
discrimination parmi les plus répandues et qui a donné lieu à une intervention
du lĂ©gislateur français dès le 1er juillet 1972. Cette discrimination est Ă
l’origine d’une jurisprudence abondante, qui a permis une évolution législative
et un progrès des mentalités. Les femmes sont souvent traitées moins bien que
les hommes en matière de salaire et subissent souvent des moqueries du style
"tu es bien une blonde" etc.. Un patron fera attention que la femme
ne soit pas trop jeune pour qu'elle n'ait pas Ă s'absenter pour un accouchement,
mais elle ne doit pas être trop âgée car il faut qu'elle soit quand même
attirante. Un homme jeune sera prioritaire car la formation qu'il aura durera
sur un long terme, et un employeur à choisir, ne prendra pas un homme près de
la retraite pour qui on va dépenser de l'argent en formation si sa
collaboration ne dure que quelques années.
Une personne victime de discrimination peut informer le secrétariat permanent
de la Commission pour la promotion de l'égalité des chances et la citoyenneté,
dont la principale mission est de mener des actions de prévention contre toutes
les formes de discrimination. Pour toute information, Il convient de s'adresser
: - à un avocat, dans le cadre des consultations gratuites d'accès au droit -
aux organisations syndicales. - pour les victimes de discrimination : au
défenseur des droits.
Cela ne devrait plus être permis, ces différences devraient devenir une force !
La discrimination sexuelle
En moyenne, le taux de chĂ´mage des
femmes est de 9 % contre 8 % chez les hommes, même si cet écart
diminue. Le taux est le mĂŞme pour les moins de 25 ans (19 %) mais les
femmes sont plus nombreuses chez les 25-49 ans.
La plus grande part de cet écart tient aux qualifications. Les filles
réussissent mieux à l’école en moyenne, mais se dirigent toujours vers des
filières scolaires et professionnelles moins valorisées. S’y ajoute
des discriminations pures et simples au moment du recrutement dans
certaines entreprises.
5 % des salariés ont un emploi à temps partiel subi. Essentiellement des
femmes.
Près de 5% des salariés femmes sont employés à temps partiel subi et
souhaiteraient travailler davantage. La proportion s’accroît logiquement
pour les populations qui occupent les postes les plus précaires, notamment dans
les secteurs du nettoyage ou de la distribution. 8,4 % des femmes
salariées sont en situation de sous-emploi, contre 1,9 % seulement des
hommes. Le taux atteint 7 % pour les non-diplômés, 7,8 % pour les
habitants des zones sensibles et même 25 % pour certaines nationalités.
Au total, 1,2 millions de personnes sont en situation de sous-emploi.
Cette population est composée à 80 % de femmes, employées 20 heures par
semaine en moyenne avec des bas salaires et des horaires souvent morcelés.
La maternité pénalise la carrière des femmes également
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