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attaché des pieds à la tète, je l'enferma dans le coffre de ma voiture,je l'emmena dans le lieux de mon enfance et l'enferma dans l'ancienne chambre de ma petite sœur morte, au moment ou je vous raconte mon histoire je suis derrière la porte de cette chambre prêt a accomplir mon acte de vengeance
Une jeune policière blonde, aux yeux bleus, vêtue de sombre, nommée Erina, était tranquillement en train de manger une salade en tapant un rapport quand tout à coup le commissaire principal rentra dans le bureau.
Erina s’interrompit.
« Que se passe t-il ? Lui demanda t-elle.
Le lieutenant Patrick... , lui dit t-il d’un ton de deuil
Que lui est t-il arrivé ? Il a eu un accident ?
Il a été assassiné ce soir à 19h, lui dit tout doucement le commissaire.
Mais ! Ce n’est pas possible !
Erina, allez avec votre équipe chez Patrick enquêter. Trouvez-moi celui qui a fait ça. »
Bien décidée à trouver le coupable, elle prit son manteau ainsi que son bloc notes, et se mit en route.
Arrivée au domicile de Patrick, Erina demanda au médecin légiste d’examiner le cadavre, et interrogea Marie, la femme de la victime :
« Où étiez vous pendant le crime ?
Après avoir interrogé l’épicier, Erina retourna enquêter chez Patrick. Elle demanda aux enquêteurs :
« Avez-vous trouvé l’arme du crime ?
Nous avons cherché dans toute la maison mais nous n’avons rien trouvé.
Et pour le parfum ?
Nous n’avons trouvé aucun flacon de parfum.
Continuez à chercher des ... »
Soudain, on entendit une vache meuler. Tout le monde se regardait, sans comprendre d’où cela venait .
Erina se mit alors à fouiller les vêtements de la victime et en sortit un téléphone portable. Elle décrocha :
« Bonjour Patrick, dit une voix de femme.
Ce n’est pas Patrick, qui êtes vous ?
Excusez moi je me suis trompée de numéro. »
La femme raccrocha aussitôt.
Erina réfléchit quelques instants puis elle dit à ses collègues :
« Je vais faire un petit tour au bureau de Patrick. »
La jeune femme quitta la maison et alla au commissariat. Elle se rendit au bureau et commença par fouiller dans les placards. Elle ne trouvait rien quand tout à coup, elle vit, sous une pile de classeurs, une lettre. Elle souleva les classeurs, prit la lettre et sentit l’odeur d’un parfum familier.
Il y avait écrit :
« Mon amour quand quitteras-tu ta femme ? Si tu ne la quittes pas, c’est moi qui partirais ! Si tu ne divorces pas, je serais capable de faire quelque chose de terrible... J’espère te voir bientôt. Je t’aime de tout mon cœur. »
La signature à la fin de la lettre ne ressemblait pas à celle de Marie. Elle comprit alors que Patrick cachait quelque chose. Aussitôt, elle se mit à chercher le numéro de l’inconnue.
Lorsqu’elle arriva, elle vit que Marie avait invité les policiers à manger le gigot qu’elle avait préparé pour le repas. Erina les rejoignit. Lorsque Marie apporta le gigot, Erina se leva de table et dit fermement :
« J’ai retrouvé l’arme du crime ...
Comment ça ! S’exclamèrent les policiers.
Oui, oui, déclara-t-elle en sortant son carnet de sa poche. La longue discussion de Marie avec l’épicier me semblait étrange et le sang gelé sur les cheveux de Patrick était inexplicable. Par contre, le coup de téléphone anonyme ne m’a pas laissée de doute. Mon intuition m’a amenée à chercher des indices dans le bureau de Patrick où j’ai trouvé des lettres d’amour. J’ai alors pensé que Patrick avait une maîtresse. J’ai lu dans une lettre que Patrick devait sortir ce soir la rejoindre. J’en ai déduit que Marie avait menti car elle avait dit à l’épicier que Patrick ne voulait pas sortir. J’ai fait une hypothèse : Marie aurait pu tuer Patrick par vengeance après la fâcheuse découverte que Patrick avait une maîtresse.
Mais je suis innocente ! Hurla Marie.
Ce n’est qu’une hypothèse mais un indice la confirme. Maintenant je comprends la présence de sang gelé sur les cheveux de Patrick ; l’arme du crime est d’origine animale et le seul animal dans cette maison est...Le gigot ! Marie, pour cacher son crime a fait croire qu’elle discutait avec l’épicier pendant le meurtre. Cela aurait très bien pu marcher car elle était sur le point de faire disparaître l’arme du crime dans l’estomac des policiers ! Voilà, maintenant vous savez tout, Marie a tué Patrick à coup de gigot. Bon appétit. »
Marie resta assise, la tête baissée, tandis que le policiers se levaient pour l’arrêter.
Quelques instants après, une lumière bleue éclaira la fenêtre : une estafette se garait devant la maison. Un policier expliqua ses droits à Marie. C’est à ce moment là qu’elle craqua et se mit à pleurer en disant :
« Mon bébé, mon pauvre bébé il va naître en prison... mon pauvre bébé ». L’enquêtrice entendit ces pleurs et ces paroles et elle décida d’aller la réconforter.
Puis les policiers lui passèrent les menottes, l’emmenèrent dans l’estafette et disparurent dans la nuit.
FIN
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