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Je venais de rentrer des cours que j'aperçus un groupe de personnes devant ma maison. Ils étaient tous habillés en noir. Je ne cromprenais pas. Je reconnus des visages comme celui de ma tante, ou encore celui de mon cousin. Mais pourquoi était ils tous là ?
Quand ma sœur sortit de la maison, le visage baigné de larmes, je compris enfin ce qui se passait : mon père était décédé.
Depuis quelques jours, il souffrait d'une grave bronchite et il s'était sans doute étouffé, puis, privé d'oxygène, il était mort.
Tout en faisant le lien, des larmes se mirent à couler sur mes joues. Mon était en si bonne santé pourtant !
Ma mère sortit à son tour et elle aussi pleurait beaucoup. Ma tante Hélène vint à ma rencontre et essaya en vain de me consoler.
Soudain, un immense sentiment de culpabilité m'envahit. Je m'en voulais de ne pas avoir passé plus de temps avec mon père. Je sentit les bras de ma mère m'entourant et je pleura de plus belle avec elle, puis ma sœur nous rejoignit.
On pleura ainsi sous les regards impuissants des autres membres de la famille.
Quelques jours plus tard, je m'était un peu calmé(e), mais ma peine était toujours aussi grande.
Je ne savais pas comment j'allais survivre, mais j'étais décidée à ne pas me laisser dépérir, en pensant que mon père serait fier de me voir ainsi.
Quand ma sœur sortit de la maison, le visage baigné de larmes, je compris enfin ce qui se passait : mon père était décédé.
Depuis quelques jours, il souffrait d'une grave bronchite et il s'était sans doute étouffé, puis, privé d'oxygène, il était mort.
Tout en faisant le lien, des larmes se mirent à couler sur mes joues. Mon était en si bonne santé pourtant !
Ma mère sortit à son tour et elle aussi pleurait beaucoup. Ma tante Hélène vint à ma rencontre et essaya en vain de me consoler.
Soudain, un immense sentiment de culpabilité m'envahit. Je m'en voulais de ne pas avoir passé plus de temps avec mon père. Je sentit les bras de ma mère m'entourant et je pleura de plus belle avec elle, puis ma sœur nous rejoignit.
On pleura ainsi sous les regards impuissants des autres membres de la famille.
Quelques jours plus tard, je m'était un peu calmé(e), mais ma peine était toujours aussi grande.
Je ne savais pas comment j'allais survivre, mais j'étais décidée à ne pas me laisser dépérir, en pensant que mon père serait fier de me voir ainsi.
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