Tu peux prendre le poème "L'albatros" de Leconte de Lisle. Le voici.
Dans l'immense largeur du Capricorne au Pôle
Le vent siffle, rugit, souffle, râle et miaule
Et bondit à travers l'Atlantique tout blanc
de bave furieuse
Il se rue, éraflant l'eau blême
Qu'il pourchasse et dissipe en buée
Il mord, déchire, arrache et tranche les nuées
Par tronçons convulsifs
où siffle un brusque éclair.