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Oui c'est très bien
Je te donne d'autres exemple
Assis sur le haut d’un muret je la vois passer tout les soirs a la même heure.
« Elle se hâte avec lenteur »
dans « La clarté sombre des réverbères »,
parmi « Les fous normaux ». «
Je la comparerais à un "soleil noir" », «
Un affreux soleil noir d'où rayonne la nuit ».
La musique que je joue a l’air parfois de l’attendrire, peut-être parce que « Mon luth constellé porte le soleil noir de la mélancolie ».
Je l’accompagne dans sa marche, et la regarde regarder les « Jeune vieillard », « Ridés et non vieillis », dans ce quartier bourgeois bohème un peu trop clinquant. Elle s’arrête sur un banc, peut être pour écouter ma musique, peut être pour passer le temps. «
La légèreté pesante de ses idées » à pourtant l’air d’ « Un merveilleux malheur » du haut de mon mur. «
Sa belle figure laide sourit tristement » quand elle croise les regards, « Un silence assourdissant » remplit alors de « Splendeurs invisibles »
« Une sublime horreur » dont les gens s’effraient.
Ils ne perçoivent que son côté physique, son visage accidenté et tordu.
« Nous écoutons des conférences inaudibles », de ces assentiments que les passants s’accordent entre eux pour dire qu’elle n’a pas sa place ici.
Ce quartier est « Un minuscule infini », un lieu où finalement peut de gens s’accordent par rapport au plus grand nombre de la ville.
Elle n’a pas sa place ici. C’est peut-être pour cela que je l’entendis un jour crier « Ta haine a pris plaisir à servir ma misère » et que je la vis se jeter sous les roues d’un camion. "Cette petite grande âme venait de s'envoler".
Je te donne d'autres exemple
Assis sur le haut d’un muret je la vois passer tout les soirs a la même heure.
« Elle se hâte avec lenteur »
dans « La clarté sombre des réverbères »,
parmi « Les fous normaux ». «
Je la comparerais à un "soleil noir" », «
Un affreux soleil noir d'où rayonne la nuit ».
La musique que je joue a l’air parfois de l’attendrire, peut-être parce que « Mon luth constellé porte le soleil noir de la mélancolie ».
Je l’accompagne dans sa marche, et la regarde regarder les « Jeune vieillard », « Ridés et non vieillis », dans ce quartier bourgeois bohème un peu trop clinquant. Elle s’arrête sur un banc, peut être pour écouter ma musique, peut être pour passer le temps. «
La légèreté pesante de ses idées » à pourtant l’air d’ « Un merveilleux malheur » du haut de mon mur. «
Sa belle figure laide sourit tristement » quand elle croise les regards, « Un silence assourdissant » remplit alors de « Splendeurs invisibles »
« Une sublime horreur » dont les gens s’effraient.
Ils ne perçoivent que son côté physique, son visage accidenté et tordu.
« Nous écoutons des conférences inaudibles », de ces assentiments que les passants s’accordent entre eux pour dire qu’elle n’a pas sa place ici.
Ce quartier est « Un minuscule infini », un lieu où finalement peut de gens s’accordent par rapport au plus grand nombre de la ville.
Elle n’a pas sa place ici. C’est peut-être pour cela que je l’entendis un jour crier « Ta haine a pris plaisir à servir ma misère » et que je la vis se jeter sous les roues d’un camion. "Cette petite grande âme venait de s'envoler".
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