Répondre :
Bonjour,
C’était en 5eme, un jour d’hiver en cour de sport. Je jouait au foot avec mes camarades de classe. Pendant ce temps Jim était dans le bureau en train de parler de sa dispence avec le professeur de sport. Tout d’un coup j’entendis crier : “Justine non ! pas le ballon’’. Puis dans la fraction de seconde suivante une des vitres du gymnase éclate. Le professeur sort et commence à crier pour savoir qui avait tiré dans la balle. Tous ceux qui jouaient au foot répondent en cœur : “C’est Justine qui a tiré !’’, alors que c’était Nicolas qui avait tiré. Avec surprise, je regardais mes camarades qui etait soit disant mes amis.Essayant de convaicre le prof que ce n'etait pas moi, s'en avoir pris la peine de m'ecouter il me fit rentrer dans son bureau sans connaître le vrai coupable où j'en sortit avec un avertissement. Arrivée au stade, ma meilleur amie cria :
« Hé, Justine ! »
Arrivai près de moi et elle me demanda :
« Tu crois que ça aura des conséquences qu'ils t'on dénoncée meme si ce n'est pas toi?
- Sûrement que ça aura des conséquences si ils ne disent pas la vérité a M.Pignon »
Elle me répondit : “Ouais mais il ne se dénonceront jamais’’ et repartit jouer comme si le dialogue n’avait pas eu lieu. J'apercu Jim qui rentrai avec le prof pour clôturer leur discussion. Bien décidée de pas me refaire avoir, je me mis à l'écart. Cinq minutes plus tard, les garçons crièrent de nouveau : “Non mais Justine tu ne vas pas continuer !’’, juste après que Jean eut donné un gros coup de pied dans un ballon. Par la suite, on entendit un énorme fracas sur le toit puis sur le garage où l’on rangeait le matériel de sport. Pignon ressortit avec Jim et ils constaterent les dégâts. Des tuiles, la cheminée ainsi que la véranda du garage étaient cassées. Mon professeur de sport me dit que cela valait bien une exclusion temporaire de l’école et un rendez-vous avec mes parents.Je continuait ainsi à clamer mon innocence au directeur et à mes parents.Mais une semaine plus tard, Léa m'appela par téléphone pour me dire que Nicolas et Jean ont eu une exclusion définitive.Elle me dit qu'en revenant de l'infirmerie, M.Pignon vit Nicolas et Jean cassé à coup de ballon deux vitres de son bureau. Accusant une autre éléve puisque j'étais absente. M.Pignon ayant vu se qui s'était passé, ne leur laissa pas le temps de discuter et compris l'injustice qu'il avait commise avec moi.Jean et Nicolas avouent la vérité sur les degats qui ont fait la journée même et une semaine avant.A mon retour, je reçue les excuses de mon professeur de sport, du directeur et des deux élèves. L'année se termina avec le calme et la justice.
C’était en 5eme, un jour d’hiver en cour de sport. Je jouait au foot avec mes camarades de classe. Pendant ce temps Jim était dans le bureau en train de parler de sa dispence avec le professeur de sport. Tout d’un coup j’entendis crier : “Justine non ! pas le ballon’’. Puis dans la fraction de seconde suivante une des vitres du gymnase éclate. Le professeur sort et commence à crier pour savoir qui avait tiré dans la balle. Tous ceux qui jouaient au foot répondent en cœur : “C’est Justine qui a tiré !’’, alors que c’était Nicolas qui avait tiré. Avec surprise, je regardais mes camarades qui etait soit disant mes amis.Essayant de convaicre le prof que ce n'etait pas moi, s'en avoir pris la peine de m'ecouter il me fit rentrer dans son bureau sans connaître le vrai coupable où j'en sortit avec un avertissement. Arrivée au stade, ma meilleur amie cria :
« Hé, Justine ! »
Arrivai près de moi et elle me demanda :
« Tu crois que ça aura des conséquences qu'ils t'on dénoncée meme si ce n'est pas toi?
- Sûrement que ça aura des conséquences si ils ne disent pas la vérité a M.Pignon »
Elle me répondit : “Ouais mais il ne se dénonceront jamais’’ et repartit jouer comme si le dialogue n’avait pas eu lieu. J'apercu Jim qui rentrai avec le prof pour clôturer leur discussion. Bien décidée de pas me refaire avoir, je me mis à l'écart. Cinq minutes plus tard, les garçons crièrent de nouveau : “Non mais Justine tu ne vas pas continuer !’’, juste après que Jean eut donné un gros coup de pied dans un ballon. Par la suite, on entendit un énorme fracas sur le toit puis sur le garage où l’on rangeait le matériel de sport. Pignon ressortit avec Jim et ils constaterent les dégâts. Des tuiles, la cheminée ainsi que la véranda du garage étaient cassées. Mon professeur de sport me dit que cela valait bien une exclusion temporaire de l’école et un rendez-vous avec mes parents.Je continuait ainsi à clamer mon innocence au directeur et à mes parents.Mais une semaine plus tard, Léa m'appela par téléphone pour me dire que Nicolas et Jean ont eu une exclusion définitive.Elle me dit qu'en revenant de l'infirmerie, M.Pignon vit Nicolas et Jean cassé à coup de ballon deux vitres de son bureau. Accusant une autre éléve puisque j'étais absente. M.Pignon ayant vu se qui s'était passé, ne leur laissa pas le temps de discuter et compris l'injustice qu'il avait commise avec moi.Jean et Nicolas avouent la vérité sur les degats qui ont fait la journée même et une semaine avant.A mon retour, je reçue les excuses de mon professeur de sport, du directeur et des deux élèves. L'année se termina avec le calme et la justice.
Merci d'avoir visité notre site Web, qui traite d'environ Français. Nous espérons que les informations partagées vous ont été utiles. N'hésitez pas à nous contacter pour toute question ou demande d'assistance. À bientôt, et pensez à ajouter ce site à vos favoris !