Bonsoir,
En lisant ton texte, j’ai pu apercevoir que l’auteur emploie la barrière entre notre être et notre conscience.
La conscience se nourrie de tout ce que le monde nous apporte.
Souvent trompée par les médias, celle-ci se fait pour ainsi dire « menée en bateau ».
L’être, l’âme est un manque de failles. L’enfant est doté d’une innocence qui lui ai propre et cette innocence se romps avec le temps.
Cette fée qui tisse se voile n’est rien d’autre que la société.
Drôle de société me diras-tu ! Et pourtant...
Que dire ? Que faire ? Mais comme je dis, entendre par les oreilles et écouter avec le cœur sont deux choses totalement différentes.
Je suis très abstraite dans mes dissertations de philo, donc si tu ne comprends pas mon raisonnement : n’hésite pas à me le dire.
Ceci dit, je te propose d’encore plus développer, et d’y apporter tu tiens ;) !
P.S : Sachant que pour moi le voile remplace ici notre société, tu pourras y développer une bien meilleure dissert.
