Ma seule consolation, quand je monte me coucher est que maman vient m'embrasser quand je suis dans mon lit. Mais ce bonsoir dure si peu de temps, elle redescend si vite, que le moment où je l'entends monter, puis où passe dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin de mousseline bleue [...] est pour moi un moment douloureux. Il annonce celui qui va le suivre, où elle me quitte, où elle redescend.