Paysage de sable qui change toujours
Dans lequel on peut faire mille et un détours
O, Sahara, tu m’attires, m’étonnes, me hante
Ta chaleur a sur moi, une empreinte rassurante.
Tu es comme l’océan dont les vagues de dunes
Tes mirages hallucinants sont tes seules fortunes
Le vent, ton ami te sculpte et te dessine
En donnant des formes incroyablement divines