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REsalut
Je me promené dans la rue en bas de chez moi quand j' aperçu cet homme étrange.Il était là assis sur un carton le visage sale , pas rasé c'est vêtements abimés .
Devant lui un chapeau et une pancarte sur laquelle était écrit une pièce pour manger s.v.p .Je ne comprenais pas alors je m' avança et je lui demanda pourquoi il demandait de l'argent , il me répondit qu'il n'avait plus de travail et plus de maison il était SDF alors il devait faire la mendicité pour pouvoir ce nourrir .Je lui souri et lui donna mon billet de 5 euros que j'avais reçu pour mes bonnes notes .Il me regarda , me dit merci et que si tous le monde était comme moi il aurait peu être une chance de s'en sortir .
Je me promené dans la rue en bas de chez moi quand j' aperçu cet homme étrange.Il était là assis sur un carton le visage sale , pas rasé c'est vêtements abimés .
Devant lui un chapeau et une pancarte sur laquelle était écrit une pièce pour manger s.v.p .Je ne comprenais pas alors je m' avança et je lui demanda pourquoi il demandait de l'argent , il me répondit qu'il n'avait plus de travail et plus de maison il était SDF alors il devait faire la mendicité pour pouvoir ce nourrir .Je lui souri et lui donna mon billet de 5 euros que j'avais reçu pour mes bonnes notes .Il me regarda , me dit merci et que si tous le monde était comme moi il aurait peu être une chance de s'en sortir .
Cet homme d'une cinquantaine d'année avait le visage marqué par des rides profondes.Son teint mate faisait ressortir le bleu de ses yeux .Il portait une barbe touffue et avait les cheveux mi long grisonnant et gras. Le peu de dents qui lui restait étaient en piteuses état, entartrées depuis des années.
Il portait un jean noire auréolé de différentes taches ; son jean était si sale . Son pull vert kaki était comme rongé par les mites tant il y avait de petits trous et d'autres taches colorés de différentes sauces. Il portait des baskets en toile usées à tel point que son gros orteil gauche, crasseux dépassait.
Il s'essuya son nez à l'aide de sa manche. On sentait le poids de la souffrance et la misère sur lui. Une odeur nauséabonde d'urine mélangé à l'odeur de pinard se dégageait de lui. Ses mains étaient énormes et si sales avec des ongles noirs encrassés. Il se tenait là, tel un épouvantail sans bouger, un gobelet à la main, à la sortie de la boulangerie faisant la manche pour un ou deux euros, la voix rauque et cassé effrayait les enfants.
Il portait un jean noire auréolé de différentes taches ; son jean était si sale . Son pull vert kaki était comme rongé par les mites tant il y avait de petits trous et d'autres taches colorés de différentes sauces. Il portait des baskets en toile usées à tel point que son gros orteil gauche, crasseux dépassait.
Il s'essuya son nez à l'aide de sa manche. On sentait le poids de la souffrance et la misère sur lui. Une odeur nauséabonde d'urine mélangé à l'odeur de pinard se dégageait de lui. Ses mains étaient énormes et si sales avec des ongles noirs encrassés. Il se tenait là, tel un épouvantail sans bouger, un gobelet à la main, à la sortie de la boulangerie faisant la manche pour un ou deux euros, la voix rauque et cassé effrayait les enfants.
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