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Bonjour, svp pouvez m'aider à faire mon sujet type brevet de français car je n'arrive pas merci d'avance de votre aide

Bonjour Svp Pouvez Maider À Faire Mon Sujet Type Brevet De Français Car Je Narrive Pas Merci Davance De Votre Aide class=
Bonjour Svp Pouvez Maider À Faire Mon Sujet Type Brevet De Français Car Je Narrive Pas Merci Davance De Votre Aide class=

Répondre :

1) À un roman de guerre
2)À la première Guerre mondiale(14-18),car le texte date de 1916.
3a)Le pronom personnel est le "on"donc on en déduit que le narrateur est un soldat pendant la guerre.
3b)Quand les lecteur laissent se texte le "on"donne de l'appartenance.
4a)dans ce passage le narrateur parle des rafales qui achètent des missile comme si c'était des étoile et le bruit des ces objet de guerre ressemble au bruit du tonnerre.                                                                                                            4b)je ne sais pas
5a)le temps verbal qui domine dans se texte c le présent.J'en déduis que la personne a écrit ce texte pendant les combats donc pendant la guerre.                5b)je ne sais pas
6)Cette phrase veut dire que la guerre sépare les famille donc le passer et que les soldat risque de mourir donc il n'auront pas d'avenir 
7)Par des mot de guerre comme "des explosifs"(l.4);"les décharges"(l.14);"Des rafales(l.14).Puis aussi par des mot qui signifient le mal qu'une personne peut ressentir comme "épouvantable"(l.3);"mal aux oreilles, vous frappent sur la nuque, vous traversent les tempes"(l.22-23)Et enfin des mot qui explique se qui se passe comme "sombres flammes s’élancent"(l.2) ; "des fusants sortent du ciel, des explosifs sortent de la terre"(l.3-4).
8)Le soldat est représenter au milieu de toutes les explosion,de tous les bruits et il mets ses mains sur ses oreilles.Les lecteurs peuvent penser qu'il a peur que les bruit des des explosion lui fait mal au oreilles et qu'il en peu plus de la guerre.
9)Le premier  point commun entre les deux support son la guerre,car l'image représente bien la guerre et le texte parle de la guerre.Et le deuxième point commun c'est le mal que les sodat on,car sur l'image on peu penser que le soldat a mal à ses oreilles  du au vacarne et dans le texte s'alarme de ceci. 
Reecriture:   
Je  m’arrête, planté au sol, stupéfié par la nuée soudaine qui tonne detoutes parts ; puis un effort simultané soulève notre masse et la rejette en avant, très vite. Je trébuche, je me retient aux autres, dans de grands flots de fumée.

Voilà je viens de finir ton devoir à mars deux question que je n'ai pas trouver bonne chance et bonne rentré à toi.





1) Ce texte appartient au récit de guerre.
Dès le début du texte on a des indications de lieu  qui appartiennent au champs  lexical de la guerre ainsi (des verbes d'action , des armes des explosifs).
" devant nous, sur toute la largeur de la descente de sombres flammes s’élancent en frappant l’air de détonations épouvantables. En ligne, de gauche à droite, des fusants sortent du ciel, des explosifs sortent de la terre. C’est un effroyable rideau ..."

2) Ce texte fait référence à la première guerre mondiale. 
"des fusants sortent du ciel, des explosifs sortent de la terre......de grands flots de fumée..... je lâche mon fusil, tellement le souffle d’une explosion m’a brûlé les mains".
L'emploi de "nous, on"  fait référence aux soldats sur le front.

3) a. 
Le pronom personnel utilisé ligne 5 à 21 est "nous" . En fait, il désigne l'ensemble des soldats tout comme le "on"

b. "Nous" est un témoignage vivant des souffrances et des atrocités subit par les soldats. Cela  montre aussi combien les soldats sont désemparés.
Le lecteur en lisant à l'impression d’être tout comme ces soldats sur le front.
Il vit ce moment horrible comme si il y était. Le lecteur compatit avec les soldats.


4) a.
Le narrateur de la ligne 12 à 14 parle  de la pluie d'obus qui s'abats sur les soldats. Au début de la bataille de verdun, un million d'obus sont lancés. Soit un obus toutes les trois secondes. C'est un vrai déluge de feu.

b)
Le champs lexical dans cette phrase appartient au sens : la vue , l'odorat.
   C'est pour montrer l'atrocité des combats en donnant des détails réalistes.


5)a. Le temps verbal dominant dans ce texte est le présent de narration. 
  "On bondit, on marche... on s’arrête on se retient.....On voit, on sent"

b.
Le narrateur utilise le présent pour faire vivre en direct les combats au lecteur. Cela montre aussi que cela a  lieu  au moment ou il écrit que la guerre n'est pas finit et que des soldats sont toujours au combat.

6)
Cette phrase (Ligne 4 et 5) signifie qu'avec tous ces obus qui tombent, les explosifs, la fumée , les soldats ne voient plus rien dans cet épais brouillard de fumée.

7.
L'auteur parvient à exprimer la violence des combats en utilisant plein de verbe d'action : " on bondit, aveuglés, nous nous précipitons, se déchaînent, tonne,a brûlé" "
L'utilisation d'adjectifs : "sombres flammes, épouvantables détonations, un effroyable rideau, si monstrueusement retentissantes, leur cri de fer rouge, une avalanche fulgurante "
L'utilisation de métaphores : "les souffles de la mort"

L'utilisation des sens : "On voit, on sent passer près de sa tête des éclats avec leur cri de fer rouge dans l’eau...On a le cœur soulevé, tordu par l’odeur soufrée."


8) Sur ce tableau , ce soldat est au premier plan. Il semble avoir perdu  son arme et son casque. Il se bouche les oreilles et  il est voûté. Il a l'air  pétrifié.
Le spectateur à travers ce tableau se rend compte de la puissance de feu utilisé pendant la première guerre mondiale et de l'impuissance des soldats.

9) Les points communs que l’on peut établir entre le texte d’Henri Barbusse et le tableau de Charles Martin sont :

La violence des combats avec " l'effroyable rideau" ,utilisation des couleurs (rouge, noir, l blanc ) qui sépare et aveugle les soldats. Sur le tableau on ne voit qu'un soldat.
Les sensations, les sentiments : à travers la posture du soldat du tableau 
et dans le texte :  Des rafales se déchaînent si monstrueusement retentissantes qu’on se sent annihilé par le seul bruit de ces averses de tonnerre, de ces grandes étoiles de débris qui se forment en l’air.

9) Réécriture ligne 5 à 8 :

Je m’arrête, plantés au sol, stupéfiés par la nuée soudaine qui tonne de toutes parts ; puis un effort simultané soulève notre masse et la rejette en avant, très vite. Je trébuche, Je me retiens aux autres, dans de grands flots de fumée.





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