Répondre :
Je me souviens d'un soir, où maman guettais l'arrivée de papa par la fenêtre.
J'avais à peine dix ans. Elle était si inquiète surtout depuis qu'elle avait vu, cet après-midi là, des hommes en chemise noire arriver dans notre petit village de Sicile.
Ils avaient collé des affiches d'un homme et le saluèrent en levant la main droite et en hurlant " Viva il Duche Mussolini!"
Lorsque papa est rentré, Maman l'a serré dans ses bras en lui disant :
- Tu as vu, ils ont envahis nos rues à présent. Sois prudent à l'usine, laisse tombé le syndicat des ouvriers.
Mais cria qu'à cause de ces gens là, notre belle Italie allait sombré dans le chaos. Et qu'il feront grève s'il doivent travailler le 1er mai.
Papa à table n’arrêtait pas de grogner. Il répétait sans cesse qu'il se battait pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et qu'il était près à donner sa vie pour sa cause. En l'entendant parler ainsi, maman le suppliait en pleurnichant de ne pas parler comme cela à l'usine sinon on ne le reverrai plus. Soudain on frappa à la porte. Papa alla ouvrir et trois hommes en chemise noire se tenait devant notre porte ils entrèrent fouillèrent toute la maison, prirent quelques livres et donnèrent l'ordre à papa de venir avec toute la famille dans une heure, sur la place du village.
Maman tremblait. Papa contenait sa colère en se mordillant la lèvre. Une heure plus tard, nous sortîmes de la maison. Tous les gens du village se dirigeaient vers la place centrale.
Soudain, sur la place, il y avait une montagne de livres. Je ne comprenais pas ce que faisaient tous ces livres parterre. Tous les villageois, petits et grands étaient attroupés tout autour de la montagne de livre.
Un homme en noir prit un bidon d'essence et aspergea tous les livres. Il attrapa le maire du village par le col et lui ordonna de jeter une allumette en lui tendant une petite boite. Le maire apeuré, tremblait tellement qu'il n'arrivait même pas à allumer une allumette. A la troisième reprise, il réussi et d'un coup les livres s'enflammèrent. Tout le monde entonna des champs patriotiques à la gloire de Mussolini. Papa faisait semblant de chanter. Ce soir là, il y eut grand bûcher de livres. Notre village si tranquille, si joyeux était devenu morose. Ce soir-là bien des choses avaient changées. Notre maître d'école s'habillait comme ces hommes en chemise noire. Il nous apprenait des champs patriotes. Et nous autres, enfants portions un petit uniforme et devions saluer chaque matin la grande photo de Mussolini accroché dans notre classe. On pouvait lire l’inquiétude et la peur sur les visages.
J'avais à peine dix ans. Elle était si inquiète surtout depuis qu'elle avait vu, cet après-midi là, des hommes en chemise noire arriver dans notre petit village de Sicile.
Ils avaient collé des affiches d'un homme et le saluèrent en levant la main droite et en hurlant " Viva il Duche Mussolini!"
Lorsque papa est rentré, Maman l'a serré dans ses bras en lui disant :
- Tu as vu, ils ont envahis nos rues à présent. Sois prudent à l'usine, laisse tombé le syndicat des ouvriers.
Mais cria qu'à cause de ces gens là, notre belle Italie allait sombré dans le chaos. Et qu'il feront grève s'il doivent travailler le 1er mai.
Papa à table n’arrêtait pas de grogner. Il répétait sans cesse qu'il se battait pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et qu'il était près à donner sa vie pour sa cause. En l'entendant parler ainsi, maman le suppliait en pleurnichant de ne pas parler comme cela à l'usine sinon on ne le reverrai plus. Soudain on frappa à la porte. Papa alla ouvrir et trois hommes en chemise noire se tenait devant notre porte ils entrèrent fouillèrent toute la maison, prirent quelques livres et donnèrent l'ordre à papa de venir avec toute la famille dans une heure, sur la place du village.
Maman tremblait. Papa contenait sa colère en se mordillant la lèvre. Une heure plus tard, nous sortîmes de la maison. Tous les gens du village se dirigeaient vers la place centrale.
Soudain, sur la place, il y avait une montagne de livres. Je ne comprenais pas ce que faisaient tous ces livres parterre. Tous les villageois, petits et grands étaient attroupés tout autour de la montagne de livre.
Un homme en noir prit un bidon d'essence et aspergea tous les livres. Il attrapa le maire du village par le col et lui ordonna de jeter une allumette en lui tendant une petite boite. Le maire apeuré, tremblait tellement qu'il n'arrivait même pas à allumer une allumette. A la troisième reprise, il réussi et d'un coup les livres s'enflammèrent. Tout le monde entonna des champs patriotiques à la gloire de Mussolini. Papa faisait semblant de chanter. Ce soir là, il y eut grand bûcher de livres. Notre village si tranquille, si joyeux était devenu morose. Ce soir-là bien des choses avaient changées. Notre maître d'école s'habillait comme ces hommes en chemise noire. Il nous apprenait des champs patriotes. Et nous autres, enfants portions un petit uniforme et devions saluer chaque matin la grande photo de Mussolini accroché dans notre classe. On pouvait lire l’inquiétude et la peur sur les visages.
Merci d'avoir visité notre site Web, qui traite d'environ Histoire. Nous espérons que les informations partagées vous ont été utiles. N'hésitez pas à nous contacter pour toute question ou demande d'assistance. À bientôt, et pensez à ajouter ce site à vos favoris !