C'est l'histoire d'une jeune femme appelée Mathilde, fille du célèbre professeur STRANGERSON. Ils vivaient tous les deux ainsi que le père Jacques, fidèle serviteur de la famille, au château du Glandier près de Corbigny. A trois cents mètres du château il y avait un laboratoire où le père et la fille travaillaient ensemble. Mathilde refusait de se marier, mais finit par accepter la demande en mariage de Robert DARZAC. Peu de temps après, un crime a été commis dans la chambre jaune : une pièce attenant à ce laboratoire; la victime n'était autre que la jeune Mathilde STRANGERSON.
Le rédacteur anonyme du journal du matin publia l'article sur le crime qui nous racontait que l'endroit où a eu lieu le crime était fermé à clé ainsi que les volets de l’intérieur. Il y avait sur le mur une empreinte de main en sang d'un homme; sûrement l'assassin, et des traces de pas au sol.
Le jeune Joseph ROULETABILLE, reporter de l'Epoque âgé de dix-huit ans se rend au Glandier avec Sainclair, son ami avocat. Ils y ont retrouvé Mr. de Marquet, le juge d'instruction, et son greffier. Au fil de l'enquête Joseph remarque que l'assassin n'avait pas que le meurtre comme motif mais aussi les plans du professeur car ils ont été volés. La police mène aussi son enquête et fait appel au célèbre inspecteur Frédéric LARZAN qui avait été envoyé à Londres pour une affaire de titres volés. Lui soupçonne le fiancé de Mlle STRANGERSON, Robert DARZAC.
Le jeune reporter avait remarqué que les actes de Mr. LARSAN étaient plutôt étranges. Robert DARZAC fut arrêté car il y a eu d'autres preuves contre lui, mais ROULETABILLE promet de prouver son innocence. Le garde de chasse de la famille fut assassiné. Ce crime est un grand mystère. Joseph décide donc de partir en voyage en Amérique pour trouver le nom de l'assassin, mais avant de partir il donne une lettre à son ami Sainclair et lui dit de la lire lors du procès, si il n'y est pas encore.
Lorsque Joseph ROULETABILLE fit son apparition au procès, le président lui ordonna de dévoiler le nom de l’assassin, mais le reporter sortit de sa poche une grosse montre de poche et il dit «Monsieur le président, je ne pourrai vous dire le nom de l'assassin qu'à six heures et demie ! Nous avons encore quatre bonnes heures devant nous !»
Après ses paroles, le président ordonna de faire sortir Joseph de cette pièce, mais ROULETABILLE lui convint du contraire et propose de donner quelques explications sur l'assassinat du garde…..
Il est six heures et demi et ROULETABILLE dit qui est l'assassin : c'est Frédéric LARZAN. Joseph annonce que le policier renommé n'est qu'autre que Ballymeyer «l'escroc du grand monde», qu'on croyait mort.
Ballymeyer avait épousé en cachette Mathilde et celle-ci s'était juré de ne rien raconter à son père, de plus qu'elle croyait que son époux était mort.
POURQUOI ont t-il découvert Mlle STRANGERSON évanouie sur le parquet avec du sang sur la tête ? Mlle STRANGERSON a était retrouvée dans cet état car elle avait fait un cauchemar, c'est pour cela qu'elle criait «à l'assassin !» et «au secours !». Et tellement qu'elle était agitée elle a fait tomber le chevet de nuit et le pistolet tira une balle sur le plafond, puis en se réveillant elle appela son père mais elle tomba sur le chevet ce qui fit qu'on la retrouva évanouie avec du sang sur la tête.
Alors COMMENT expliquez-vous l’empreinte de main sur le mur ? Ballymeyer était venu voir son épouse Mathilde dans la journée, mais celle-ci, effrayée, tira à deux reprises : une fois sur le mur et l'autre fois sur sa main pour qu'il s'en aille, l'escroc essuya sa main sur le mur, ce qui créa l'empreinte. Comme elle entendit les pas de son père alors elle n'a pas vu la main sur le mur.
Bon voilà, j'ai corrigé que l'orthographe et la grammaire.. Par contre tu devrais relire ton texte car ce n'est pas très cohérent..
J'espère t'avoir aidé ^^
