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Bonjour,
Le risque le plus important auquel sont exposés les littoraux sont l’érosion des côtes, qui touche près de 1720 km de côtes françaises (l’autre moitié des côtes sont relativement stables). Selon le site, le littoral évolue différemment, les côtes sableuses reculent sur la moitié de leur linéaire, les côtes vaseuses s’engraissent et les littoraux rocheux sédimentaires sont aussi souvent soumises à l’érosion. Le littoral en recul est très variable sur le littoral métropolitain, très faible en Corse et en Ile et Vilaine, mais très forte dans le Pas de Calais, en Seine Maritime, dans le Calvados et dans le Gard.
D’autre part, les littoraux sont touchés par d’autres risques qui ne touchent pas que ceux-ci mais qui sont amplifiés en cette région, sont néanmoins moins fréquents, tel que les incendies ou les risques nucléaires (20% de l’électricité française est produite sur le littoral). En outre, des risques, plus spécifiques aux littoraux, tel que les risques liés au transport maritime et les risques de submersion ou d’éboulement. Par ailleurs, les communes situées sur les littoraux comptent un nombre très important d’industries, les installations industrielles les plus dangereuses dites "installations Seveso" sont ainsi omniprésentes. Les risques industriels font donc référence à des événements accidentels se produisant sur un site industriel et entraînant des conséquences immédiates pour le personnel, les populations avoisinantes, les biens ou l'environnement. Elles peuvent se révéler extrêmement dangereuses.
Il y a de nombreux outils pour protéger le milieu littoral en France, qui suivent tous des ordres différents selon leurs emplacements. Les conventions des mers régionales suivent des outils de protection au titre des conventions internationales ; des outils de protection réglementaire agissent sur les institutions telles que les réserves naturelles ou les parcs nationaux ; les outils de protection foncière qui sont offertes par la loi littoral ; les outils de protection contractuelle avec des zones de protection spéciale (ZPS) ou les propositions de sites d’intérêt communautaires (PSIC) qui constituent le réseau Natura 2000 ; finalement, les outils de protection spécifiques qui protègent une espèce particulière, par exemple, les récifs coralliens.
Le conservatoire du littoral est un établissement public de l’état qui a été crée en 1975. Ses principaux objectifs sont : la mise en œuvre d’un effort de recherche et d’innovation portant sur les particularités et les ressources du littoral ; la protection des équilibres biologiques, de la lutte contre l’érosion, de la préservation des sites et des paysages et du patrimoine ; la préservation et le développement des activités économiques liées à la proximité avec l’eau (pêche, culture marine, activités portuaires, la construction et réparation navales et transports maritimes) ; mais surtout, leur principal objectif est de maintenir et développer, en zone littorale, des activités agricoles ou sylvicoles (activités liées à la forêt) de l’industrie, de l’artisanat et du tourisme. Le conservatoire du littoral confie la gestion des terrais aux communes (ou à d’autres collectivités locales, associations, établissements publics,...). Avec l’aide de spécialistes,il détermine la manière dont doivent être aménagés et gérés les sites pour assurer un bon état écologique. Le conservatoire intervient dans les cantons côtiers en métropole, dans les départements d'Outre-mer, à Saint Barthélémy, Saint Martin et à Saint Pierre et Miquelon, ainsi que dans les communes riveraines des estuaires, des deltas et des lacs de plus de 1000 hectares. Le 1er septembre 2012, le conservatoire du littoral assurait la protection de 152.000 hectares, représentant 1500km de rivages, soit plus de 12% du linéaire côtier.
Le risque le plus important auquel sont exposés les littoraux sont l’érosion des côtes, qui touche près de 1720 km de côtes françaises (l’autre moitié des côtes sont relativement stables). Selon le site, le littoral évolue différemment, les côtes sableuses reculent sur la moitié de leur linéaire, les côtes vaseuses s’engraissent et les littoraux rocheux sédimentaires sont aussi souvent soumises à l’érosion. Le littoral en recul est très variable sur le littoral métropolitain, très faible en Corse et en Ile et Vilaine, mais très forte dans le Pas de Calais, en Seine Maritime, dans le Calvados et dans le Gard.
D’autre part, les littoraux sont touchés par d’autres risques qui ne touchent pas que ceux-ci mais qui sont amplifiés en cette région, sont néanmoins moins fréquents, tel que les incendies ou les risques nucléaires (20% de l’électricité française est produite sur le littoral). En outre, des risques, plus spécifiques aux littoraux, tel que les risques liés au transport maritime et les risques de submersion ou d’éboulement. Par ailleurs, les communes situées sur les littoraux comptent un nombre très important d’industries, les installations industrielles les plus dangereuses dites "installations Seveso" sont ainsi omniprésentes. Les risques industriels font donc référence à des événements accidentels se produisant sur un site industriel et entraînant des conséquences immédiates pour le personnel, les populations avoisinantes, les biens ou l'environnement. Elles peuvent se révéler extrêmement dangereuses.
Il y a de nombreux outils pour protéger le milieu littoral en France, qui suivent tous des ordres différents selon leurs emplacements. Les conventions des mers régionales suivent des outils de protection au titre des conventions internationales ; des outils de protection réglementaire agissent sur les institutions telles que les réserves naturelles ou les parcs nationaux ; les outils de protection foncière qui sont offertes par la loi littoral ; les outils de protection contractuelle avec des zones de protection spéciale (ZPS) ou les propositions de sites d’intérêt communautaires (PSIC) qui constituent le réseau Natura 2000 ; finalement, les outils de protection spécifiques qui protègent une espèce particulière, par exemple, les récifs coralliens.
Le conservatoire du littoral est un établissement public de l’état qui a été crée en 1975. Ses principaux objectifs sont : la mise en œuvre d’un effort de recherche et d’innovation portant sur les particularités et les ressources du littoral ; la protection des équilibres biologiques, de la lutte contre l’érosion, de la préservation des sites et des paysages et du patrimoine ; la préservation et le développement des activités économiques liées à la proximité avec l’eau (pêche, culture marine, activités portuaires, la construction et réparation navales et transports maritimes) ; mais surtout, leur principal objectif est de maintenir et développer, en zone littorale, des activités agricoles ou sylvicoles (activités liées à la forêt) de l’industrie, de l’artisanat et du tourisme. Le conservatoire du littoral confie la gestion des terrais aux communes (ou à d’autres collectivités locales, associations, établissements publics,...). Avec l’aide de spécialistes,il détermine la manière dont doivent être aménagés et gérés les sites pour assurer un bon état écologique. Le conservatoire intervient dans les cantons côtiers en métropole, dans les départements d'Outre-mer, à Saint Barthélémy, Saint Martin et à Saint Pierre et Miquelon, ainsi que dans les communes riveraines des estuaires, des deltas et des lacs de plus de 1000 hectares. Le 1er septembre 2012, le conservatoire du littoral assurait la protection de 152.000 hectares, représentant 1500km de rivages, soit plus de 12% du linéaire côtier.
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