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Bonjour,
Me sentiment envers le travail est un véritable paradoxe. Tantôt il apparaît comme libérateur, tantôt comme porteur d’emprisonnement, tantôt comme quelque chose d’aliénant, tantôt comme un facteur de déshumanisation... tout dépend de notre attitude à l’égard du travail lui-même.
Tout du moins, il est vrai que depuis quelques années, on observe une tension sociale se dessiner selon les catégories sociaux professionnelles et la différenciation d’appréciation du travail. En effet, de manière de plus en plus nette, on voit que pour certain, le travail semble essentiel au bonheur alors que d’autres travailleurs qui entretiennent un rapport malheureux au travail surtout en raison des dégradations des conditions de travail. On comprend alors qu’une augmentation de l’autonomie peut être synonyme de bonheur pour un cadre mais pas nécessairement pour un ouvrier.
Faut-il alors travailler plus pour se sentir mieux et avoir davantage de reconnaissance sociale ?
Mais dans ce cas là, où se place le temps pour les loisirs, qui raisonnablement est le marqueur de l’évolution et de l’avantage du progrès technique et de notre société ? (Rien de tel que des vacances ratées pour vous réconcilier avec une vie de labeur. Arnold Bennett).
Me sentiment envers le travail est un véritable paradoxe. Tantôt il apparaît comme libérateur, tantôt comme porteur d’emprisonnement, tantôt comme quelque chose d’aliénant, tantôt comme un facteur de déshumanisation... tout dépend de notre attitude à l’égard du travail lui-même.
Tout du moins, il est vrai que depuis quelques années, on observe une tension sociale se dessiner selon les catégories sociaux professionnelles et la différenciation d’appréciation du travail. En effet, de manière de plus en plus nette, on voit que pour certain, le travail semble essentiel au bonheur alors que d’autres travailleurs qui entretiennent un rapport malheureux au travail surtout en raison des dégradations des conditions de travail. On comprend alors qu’une augmentation de l’autonomie peut être synonyme de bonheur pour un cadre mais pas nécessairement pour un ouvrier.
Faut-il alors travailler plus pour se sentir mieux et avoir davantage de reconnaissance sociale ?
Mais dans ce cas là, où se place le temps pour les loisirs, qui raisonnablement est le marqueur de l’évolution et de l’avantage du progrès technique et de notre société ? (Rien de tel que des vacances ratées pour vous réconcilier avec une vie de labeur. Arnold Bennett).
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