Quand j'arrivais sur les lieux, je me mis à grelotter de peur, met mains tremblaient, et mon souffle se faisait cour. L'angoisse me saisissait à la gorge, comme si l'on m'etranglait, un noeud se formait dans mon estomac et un long frisson me parcouru l'échine. J'étais seul à présent. Guider par une force invisible jusqu'à ce manoir, la pluie battait à mes oreilles, je n'avais pas d'autre choix que d'entrer demander l'hospitalité. Devant le grillage tordu et encrasser par le temps et l'usure, j'inspectai les lieux, ce vieux taudis effrayant était d'un noir charbonneux a l'intérieur de repoussantes toile d'araignée ornait les murs ainsi que des tapisserie mitées, une épaisse couche de pousie séjournait sur les vieux meubles et la commode. De la suie étais disperser sur la vielle cheminée. Et le reste de cendres restaient inanimé, et se soulevait quand un courant d'air passait à travers la toiture. Un silence de mort régnait et il n'y avait aucun signe de vie. Une odeur funeste imprégnait les alentours et des corbeaux croissaient sans repit. Je faillit rendre l'âme quand je retrouvai un cadavre dans mon lit, désenparer je cria de toute mes forces et appela à l'aide mais il n'y avait n'y personne. J'étais face à un mort. Un mort qui était dans le lit ou j'allais dormir. Et qui avait les yeux lumineux, on voyait le blanc qui était autour de ses pupilles dilatée. Des vers grouillais sur lui et le rongeait de partous. ce fut trops pour mon pauvre coeur et pour mon espris tétaniser. Je m'evanoui, tombant dans un bruit sourd sur le sol de marbre, le sang dégoulinerais teintant le sol en rouge. Dans cette chute je me cognais violamment la tête sur un coin du lit et m'était ouvers le crâne provoquant de sévère blessures. Rupture d'anévrisme, traumas crânien, hémorragie et AVC, cela fut le triste bilan de mon décès à 00h00.
