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On éprouve un sentiment de tristesse et d'étonnement en voyant que la guerre est banalisée et que pour ces gens c'est une chose normale. Et donc lorsque le fils aura fini de faire la guerre, il retournera à sa vie habituelle et fera des affaires avec son père, comme si rien ne s'était jamais produit.
Pour eux, faire la guerre, c'est comme partir faire ses courses : on part de chez soi pour la bonne cause, pour ramener à manger, et lorsqu'on revient on reprend sa vie normale dans sa maison parce que c'est normal de faire les courses.
D'ailleurs on voit à la fin du poème que lorsque le fils meurt, les parents vont au cimetière et pour eux "c'est naturel" et ils continuent leurs activités.
La répétition de "c'est naturel" au fil du texte et des activités de chacun des personnages montrent une certaine routine qu'aucun événement ne saurait perturber, même pas la mort du fils, quoi qu'il arrive, il se passera toujours la même chose : la mère fera du tricot et le père fera des affaires.
Pour eux, faire la guerre, c'est comme partir faire ses courses : on part de chez soi pour la bonne cause, pour ramener à manger, et lorsqu'on revient on reprend sa vie normale dans sa maison parce que c'est normal de faire les courses.
D'ailleurs on voit à la fin du poème que lorsque le fils meurt, les parents vont au cimetière et pour eux "c'est naturel" et ils continuent leurs activités.
La répétition de "c'est naturel" au fil du texte et des activités de chacun des personnages montrent une certaine routine qu'aucun événement ne saurait perturber, même pas la mort du fils, quoi qu'il arrive, il se passera toujours la même chose : la mère fera du tricot et le père fera des affaires.
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