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bonjour
l'auteur critique la vitesse dans notre société moderne,on fait tout dans la hâte ,le temps nous dévore(elle use les machines et consomme du charbon) l'homme est stressé,la vitesse consomme et consume son énergie,il fait une comparaison ( à la stupidité diligente des abeilles ) travaillant sans relâche,sans répit ,on est débordé par les contraintes quotidiennes (ils se lèvent en courant,se jettent de l'eau sur le corps,du café brûlant dans l'estomac....ainsi jusqu'au soir et le lendemain)
L'homme agit comme un automate,un robot,vite il se rend au travail,cherchant à optimiser son temps (pendant que le moteur ronfle ,il se précipite sur le journal...lu six pages) l'homme est sous pression ,constamment,il faut être performant ,nos existences sont débordées,on ne réfléchit plus tant on craint de manquer de temps,il y a urgence ,certains penseront que ça fait partie de l'organisation
Il n'a plus le temps de regarder autour de lui,il n'acceptera pas de se mettre en retard pour prendre le temps de vivre,de contempler (les saisons , le gai soleil,..les flaques d'eau ...) de se réapproprier le temps, de savourer les simples plaisirs en regardant tout simplement les beautés qui s'offrent à lui
2) expliquer :les saisons vont leur petit train
les saisons vont train-train continuant à se succéder comme d'habitude,étrangères au rythme effréné des hommes.
les collines qui ferment les rues : la ville doit être dans une vallée encaissée au pied des collines ,car ( vapeur bleue) ça doit être la brume qui descend des montagnes.
quelques chiens philosophes : les chiens sont personnifiés,tel des philosophes qui ont la sagesse,ils sont calmes,rien ne les atteint ,ils (trottent,la queue en l'air),heureux de vivre,insouciants . Leur sérénité s'oppose à la fièvre,la précipitation des hommes .
voilà
l'auteur critique la vitesse dans notre société moderne,on fait tout dans la hâte ,le temps nous dévore(elle use les machines et consomme du charbon) l'homme est stressé,la vitesse consomme et consume son énergie,il fait une comparaison ( à la stupidité diligente des abeilles ) travaillant sans relâche,sans répit ,on est débordé par les contraintes quotidiennes (ils se lèvent en courant,se jettent de l'eau sur le corps,du café brûlant dans l'estomac....ainsi jusqu'au soir et le lendemain)
L'homme agit comme un automate,un robot,vite il se rend au travail,cherchant à optimiser son temps (pendant que le moteur ronfle ,il se précipite sur le journal...lu six pages) l'homme est sous pression ,constamment,il faut être performant ,nos existences sont débordées,on ne réfléchit plus tant on craint de manquer de temps,il y a urgence ,certains penseront que ça fait partie de l'organisation
Il n'a plus le temps de regarder autour de lui,il n'acceptera pas de se mettre en retard pour prendre le temps de vivre,de contempler (les saisons , le gai soleil,..les flaques d'eau ...) de se réapproprier le temps, de savourer les simples plaisirs en regardant tout simplement les beautés qui s'offrent à lui
2) expliquer :les saisons vont leur petit train
les saisons vont train-train continuant à se succéder comme d'habitude,étrangères au rythme effréné des hommes.
les collines qui ferment les rues : la ville doit être dans une vallée encaissée au pied des collines ,car ( vapeur bleue) ça doit être la brume qui descend des montagnes.
quelques chiens philosophes : les chiens sont personnifiés,tel des philosophes qui ont la sagesse,ils sont calmes,rien ne les atteint ,ils (trottent,la queue en l'air),heureux de vivre,insouciants . Leur sérénité s'oppose à la fièvre,la précipitation des hommes .
voilà
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