Répondre :
Oui c’est:
Dans les terres, de nuit baignées
Je contemplais, ému, les haillons
Des vieillards qui jetaient à poignées
La moison future au sillons
(J’ai la flemme de tout réécrire :) )
Sa devient ses
Silouhette et noires prennent un s
Il doit croire devient ils devaient croire
Ils marchaient
Lance les graines
Rouvraient leurs mains
Leurs voiles
Les ombres
Des semeurs
bonjour
réécrivez ce poème à l'imparfait en mettant "vieillard" au pluriel
Dans les terres, de nuit baignées
Je contemplais ,ému, les haillons
Des vieillards qui jetaient à poignées
La moisson future aux sillons
Leur haute silhouette noire ►(voir explication en bas pourquoi au singulier)
Dominait les profonds labours.
On sentait à quel point, ils devaient croire
A la fuite utile des jours
Ils marchaient dans la plaine immense
Allaient, venaient, lançaient la graine au loin
Rouvraient leurs mains et recommençaient ►( chacun a 2 mains)
Et je méditais, obscur témoin .
Pendant que ,déployant les voiles
L'ombre,où se mêlait une rumeur
Semblait élargir jusqu'au étoiles
Le geste auguste des semeurs ou "les gestes augustes des semeurs .
Dans le début de la seconde strophe, j'ai laissé le singulier car chacun des vieillards n'a qu'une silhouette" mais certains le mettraient au pluriel donc ça donnerait
Leurs hautes silhouettes noires
dominaient les profonds labours
bonne journée
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