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Réponse :
Quinze ans plus tard je suis revenu(e) au village ou devrais-je dire l'ancien village. Oui, il n'existais plus et à sa place s'élevait des immenses troncs. Des troncs robustes sur lesquels poussaient des branches. Ces dernières garnies de fleurs ne laissaient qu'un léger espace mais suffisant pour marcher à travers. Comme si quelqu'un avait calculé la distance entre chaque pousse d'arbre. L'ensemble formait un riche bouquet de mille couleurs, dizaine de senteurs et venant d'une personne en cadeau à sa descandance, l'Humanité. Le village n'étais plus là, certes, mais la nature festoyait! Elle avait reçu un si beau cadeau: l'homme qui plantait des arbres.
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