Réponse :
2) Le narrateur emploie les pronoms « on » et « nous » pour que chaque lecteur se sente directement concerné par ce qu’il lit. Á travers ces pronoms, il désigne tout le monde.
Explications : Le pronom « on » est un pronom indéfini. Il est employé lorsque le locuteur ne veut nommer personne. Ici, elle parle en général. Quand elle dit « nous » elle parle de tout le monde elle-même y compris.
3) Relevons dans le texte des souvenirs de situations précises évoqués par l’auteure :
- les articles de la rentrée scolaire qui surgissaient dans les rayons avant que les vacances ne soient là.
- les jouets de Noël dans les magasins juste le lendemain de la Toussaint.
- les maillots de bain en vente déjà en février.
Ligne 6-7 « le temps des choses nous aspirait » pour dire que les événements, les fêtes n’étaient pas encore arrivés que déjà on se souciait de leur concrétisation.
4) « L’ordre marchand se resserrait, imposait son rythme haletant. » La logique selon laquelle tout se vend. Dans le premier paragraphe le champ lexical du “Marché“.
Selon moi, l’ordre marchand correspond à une publicité réalisée à grand frais ; pour présenter les biens et services à la clientèle et contraindre de façon tacite le consommateur à acheter.
Explications : le champ lexical du marché avec les mots comme : marchand, achats, code-barres, plateau roulant, chariot, le coût, la transaction, les articles, les rayons, les jouets de Noel, les maillots de bain et bien d’autres mots.
5) « C’était une dictature douce et heureuse contre laquelle on ne s’insurgeait pas.» Ligne 32-33 Dans cette expression l’auteure a utilisé un oxymore. L’auteure veut dire que le consommateur se retrouve sous la pression des nombreux articles et produits mais, il semble gérer.
6) L’auteure montre que, ce que nous avons n’est pas beaucoup. Qu’il faut continuer d’acheter. Je ne suis pas d’accord avec elle.
Justification repose sur le propos des parents ligne 35-36. On se souvenait du reproche des parents, «tu n’es donc pas heureux avec ce que tu as ? » Pour dire que ce que nous possédons n’est pas peu et suffit largement.
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