Réponse :
Réponses
1) L’auteur raconte l’incident d’un peigne qui se casse au cours du séchage sur la plaque. Le châtiment qui lui est infligé est corporel.
Justification : ligne 16-17 « Repris à plusieurs fois et mis dans l’état le plus affreux. » « J’aurais souffert la mort »
Explications : les lignes 19-20 amplifie le châtiment «Enfin je sortis de cette cruelle épreuve en pièces mais triomphant. »
2) Ligne 5-7 « On m’interroge : je nie d’avoir touché le peigne. M et mademoiselle Lambercier se réunissent, m’exhortent, me pressent, me menacent, je persiste avec opiniâtreté. » le temps des verbes ici est le présent. Il utilise le présent d’énonciation. C’est le présent du moment où il parle.
3) Les sentiments que provoque cet incident.
- chez l’enfant : un sentiment de fierté. Ligne 16 “on ne put m’arracher l’aveu qu’on exigeait.“
- chez le narrateur adulte : un sentiment de violence, d’injustice. Ligne 46-50
Explications : c’est ce que le texte nous présente. La suite du texte n’est pas visible, alors complète les réponses à partir des lignes 46-50.
4) Relevons les verbes au présent dans le dernier paragraphe : sens, s’élève etc … Je n’arrive pas à voir la suite du texte pour relever le reste.
5) L’auteur donne de lui l’image de quelqu’un qui ne supporte pas l’injustice envers l’autre. Cela le rebute.
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