Réponse :
1) Comme pronoms personnels nous avons : Je, nous, tu, il.
Comme adjectifs possessifs nous avons : Ta, tes, mon, ton.
Explications : Dans le déroulement du récit, les pronoms personnels “je“ et “ nous“ se présentent comme le locuteur. C'est-à-dire celui qui parle. Le pronom personnel “tu“ se présente comme l’allocutaire. Celui qui reçoit le message du locuteur. Il faut retenir que les pronoms personnels et les adjectifs possessifs ont joué le rôle d’énonciation.
2) La mère du narrateur blague avec son fils parce qu’elle sent qu’il a perdu sa joie et son sens de l’humour.
3) Elle lui reproche ses plaintes à l’endroit de son boulot.
4) Il se justifie en montrant à sa mère que son travail est dur et ennuyeux, mais qu’il s’en contente.
5) On peut rire de « ce grand absurde ouvrier » parce qu’il se plaint aussi du dos et de la fatigue.
6) L’auteur en disant cela présente un discours paradoxal. Où il tente de réfuter l’idée qu’il a, et il fini par accepter son idée.
7) Les valeurs les plus importantes pour le narrateur sont : le courage et l’espoir d’une suite meilleure.
Qu’est-ce qui construit un individu ?
Les situations de la vie qu’il traverse, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Lui forgent un courage et l’amène à garder espoir. Les oppositions sur son chemin lui montrent qu’il doit se battre pour tout obtenir.
Explications :
Le récit vient donner le courage. La mère qui se retrouve avec le cancer ne veut pas voir son fils perdre l'espoir en l'avenir. Le fils rebondit et présente une positivité pour triompher du mal.
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