Réponse:
15 novembre, Midas se trouve en haut d'un immeuble prêt à mettre fin à ses jours à cause du harcèlement subit au lycée.
Quand soudain un de ces harceleurs apparaît, inquiet il tenta aussi bien que mal de le raisonner.
Helios: Midas qu'est ce que tu fais ici à cette heure si tardive? Imagine que quelqu'un te pousse d'ici ,c'est la mort assurée, allez viens, rejoins nous.
Midas: non,je veux me débarrasser de vous, j'en peux plus de cette hypocrisie, de la manière dont tout le monde se moque de moi dès que j'ai le dos tourné, de la manière dont vous me demandez des conseils, des réponses comme si vous m'aimiez comme si vous n'avez jamais rien dit de mal pendant mes absences... C'est fini, je n'en peux plus! je suis à bout! Je veux quitter ce monde .
Helios: non tu te trompes on t'aime, tu es comme un frère pour nous, un de nos camarades, notre ami, nous avons confiance en toi Mida, redescend maintenant.
Midas:non je ne peux pas c'est trop tard maintenant, tout le monde dis que je suis gros
laid, affreux, mesquin, pittoyable, infect tous ces mots qu'ils prononcent avec amusement et qu'ils oublient les secondes qui suivent, moi je les oublie pas, ces mots glissent dans mes pensées et font écho je n'entends plus que ca , je suis un lâche une personne faible, épuisé de la vie, anéanti et abattu par ces proches qui ne pèsent pas le poid de leurs mots. Mais aujourd'hui, en ce 15 novembre, je rejoindrai un autre monde et qui sait peut être qu'il sera meuilleur que celui-ci de toute façon il ne peut pas être pire.
Helios :Mida écoute moi je t'en pris, descend je regrette et je m'excuse d'avoir propager ces rumeurs, d'avoir envenimé ta situation et d'avoir été déloyal envers toi, en réalité j'étais juste craintif à ce que ces rumeurs soient aussi associer à moi, je suis vraiment désolé de n'avoir rien fait face à cela.
Midas: ne sois pas désolé, ça ne te ressemble pas, dis moi juste avant que je parte, est ce que tu es le poète derrière le poème d'amour adressé à stepan l'an dernier de ma part?
Helios: Je suis désolé, je pensais pas du tout que tu en souffrais autant, tu ne disais rien, tu ne te défendais même pas!, je te pensais introverti mais pas mal à ce point je te croyais fort,invulnérable, patient et je regrette de t'avoir surestimé je suis tellement désolé...
Midas: Écoute mes derniers mots, si ça peut te rassurer tu n'es pas le seul responsable de ma chute vous êtes nombreux allant de mes proches qui font partis de ma famille et qui m'ont toujours exposé comme étant un domestique de la maison jamais comme un des leur, avec seul argument que je n'étais pas du même sang qu'eux.
Parlons maintenant de mes proches amis (silence)
ils n'ont jamais existé, j'ai toujours eu à faire à des hypocrites, des manipulateurs, des trompeurs, des vicieuses, voila le résultat j'en suis là, devant ma fin.
Mais avant que mon âme disparaisse, sache le et dis leur que je les déteste tous toi aussi. Que je viendrai les hanter...
