Bonjour, je suis nul en orthographe et j'ai du faire une rédaction, pouvez vous me corriger les fautes, merci d'avance ^^ :

C'est quand son propre enfant lui a avoué une petite bêtise qu'Antoinette s'est souvenue de la sienne. Cette bêtise qui a conduit au divorce de ses parents, cette bêtise qui a fait de sa mère la risée du pays et cette même bêtise qu'Antoinette a tout fait pour l'oublier.
Mentant, jour après jour, à sa mère, Antoinette s'était construit une fasse image d'elle même. Cette image de la petite fille dite « parfaite » mais qu'elle détestait car sa culpabilité la rongeait.

C'est alors qu'avec du recul, qu'Antoinette décida d'écrire une lettre à sa mère, expliquant sans plus de précisions qu'elle irait lui rendre vite dans les jours prochain.

Reprenant sa respiration, Antoinette toqua à la porte d'un vieux immeuble. Depuis la soirée du bal, Mr Kampf s'était remarié, laissant alors Mme Kampf perdre à petit feu ses domestiques, ses biens et sa maison.

Antoinette entra dans l'appartement miteux, elle serra les poing comme une enfant, et s'avança vers sa mère, une vieille femme au cheveux décolorée et aux traits durs.

«  - Bonjour mère, soupira Antoinette.
- Bonjour Antoinette, fit alors sa mère, que me vaut cette visite ?
- Il faut que nous parlions.
- De ? Questionna sa mère en écarquillant les sourcils.
- Du bal,
- Du bal ?
- Oui du bal, murmura Antoinette.
- Antoinette ! Tu veux encore remuer le passé, ne t'ai-je pas dit que tout cela était à présent fini ?! » Gronda alors sa mère

Antoinette baissa la tête, serra les poings et bafouilla :

«  - C'est moi qui ais jeté les invitations dans la Sei-
- Pardon ?! Interrompu sa mère.
- Quand nous rentions du piano, l'anglaise m'a demandée de poster les invitations et je les ai jetées dans la Seine, Balbutia Antoinette.
- Te rends-tu comptes des conséquences que tu as enclenchées ?! Avec ta stupidité tu ma ruinée ! Sale égoïste vas !
- Calmez-vous mère, supplia Antoinette.
- Me calmer ? Alors que tu as ruinez ma vie, cria mme Kampf.
- Vous aussi, vous avez ruinez ma vie ! Riposta Antoinette.
- Comment ça ? Bafouilla mme Kampf.
- Petite, vous m'avez torturé mentalement, vous avez était égoïste et autoritaire. Vous n'avez pas cherchée a comprendre mes besoins. Vous m'avez jamais considéré comme votre fille mais plus comme un poids, Hurla Antoinette.
- Impossible... Murmura Mme Kampf.
- Je n'ai pas fini, continua Antoinette, vous êtes une personne sans cœur et je tien a vous le dire que je ne regrette pas d'avoir jetée vos invitations dans la Seine, et je suis heureuse de vous voir vivre dans un taudis qui est le parfait miroirs de votre cœur, s'écria Antoinette avant de fermer la porte de l'appartement de sa mère. »