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En arrivant au village natal de mes parents, on s'installait chez mes grands parents qui nous accueillaient avec la joie et la générosité des (du) printemps.
Dés (dès) mon arrivée, je sortais en courant vers les champs qui s’étendent devant la maison, c’était un vrai tapis multicolores (pas de s) pour toutes les créatures :
L’homme qui manifeste sa joie en souriant, en s’amusant et en mangeant en pleine nature.
Les troupeaux des (d') animaux qui avalent de l’herbe avec un appétit exceptionnel.
Les oiseaux qui remplissent le ciel avec leur chant.
Les papillons qui portent sur leurs ailes toutes les couleurs du printemps.
Les abeilles qui rendent visite à toutes les fleurs.
Les coqs et les poules avec leurs poussins qui chantent et picotent.
C’était un vrai tableau artistique et magique ! Qui devient aujourd’hui un rêve ! Car ma saison la plus préférée est devenue la saison la plus détestée ! (la saison que j'aimais le plus est devenue celle que je déteste aujourd'hui le plus)
Quand je suis rentré (arrivé) en France, j’ai passé ma première année sans problème, mais avec le temps j’ai découvert que je me (inutile) suis touché par l’allergie du (au) pollen.
Cette allergie m’a rendu (a transformé pour moi, à mes yeux) cette belle et magique saison à (en) une saison infernale car j’en souffre jours comme nuit (nuit et jour = expression usuelle) durant tout le printemps malgré les traitements.
Le bonheur de certains est-il le malheur pour d'autres?
Il est vrai que c'est la saison des allergies et que cela la rend moins agréable et plus pénible pour ceux qui en souffrent. Mais votre description nous montre que vous avez encore en tête une vision idyllique du printemps dans vos souvenirs...
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