Le yéti courrait s'en relâche, tenant toujours le narrateur sous son bras. ce dernier ne comprenait plus ce qui se passait. La peur et l'incompréhension de lisait sur son visage.
Mais que m'arrive-t-il, se demandait-il. Mais il n'avait même pas le temps de réfléchir, le yéti courrait de plus en plus vite, traversant des forêts, sautant au dessus des troncs d'arbres cassés. Il allait à une vitesse époustouflante. Le narrateur sentait son coeur se décrochait à chaque centimètres que le géant bonhomme parcourrait. Le vent lui soufflait dans la figure et, s'apprêtant à enfin ouvrir les yeux, il remarqua que le vent avait cessé. Il regarda alors autour de lui, ne voyant qu'un simple ciel de couleur violette. D'un coup, deux grosses mains velues le prirent par les épaules. Il se retourna lentement et s'aperçut que des millions de yéti entouraient.
