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résolu

Bonsoir aidez moi svpl

Réécrivez les huit premières vers du poème à l'imparfait de l'indicatif, en remplaçant la voix  par des voix

Une voix, une voix qui vient de si loin
Qu'elle ne fait plus tinter les oreilles,
Une voix, comme un tambour, voilée
Parvient pourtant, distinctement, jusqu'à nous.

Bien qu'elle semble sortir d'un tombeau
Elle ne parle que d'été et de printemps,
Elle emplit le corps de joie
Elle allume aux lèvres le sourire.

merci beaucoup 30 points donner ou plus

Répondre :

JAPANSUKIVIZ
Une voix, une voix qui venait de si loin
Qu'elle ne faisait plus tinter les oreilles.
Une voix, comme un tambour, voilée
Parvenait pourtant, distinctement, jusqu'à nous.
Bien qu'elle semblait sortir d'un tombeau
Elle ne parlait que d'été et de printemps.
Elle emplissait le corps de joie
Elle allumait aux lèvres le sourire.

Des voix, des voix qui venaient de si loin      Qu'elles ne faisaient plus tinter les oreilles     Des voix comme des tambours, voilées     Parvenaient pourtant, distinctement, jusqu'à nous    Bien qu'elles semblaient sortir d'un tombeau    Elles ne parlaient que d'été et de printemps,   Elles emplissaient les corps de joie  Elles allumaient aux lèvres les sourires
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