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Une conquête très rapide• Le jeune roi
de Macédoine commence par rétablir l'ordre en Grèce, n'hésitant pas à
raser Thèbes qui s'était à nouveau révoltée.
• Très vite, Alexandre convoite la Perse. En 334 av. J.-C., à la tête d'une troupe de 35 000 hommes, il traverse la mer Égée et remporte une première victoire contre les Perses (à Issos). Il conquiert rapidement les rives de la Méditerranée, depuis Troie jusqu'à la riche et prestigieuse Égypte, en passant par la Palestine. Il se tourne ensuite contre le roi de Perse, qu'il bat à nouveau (bataille de Gaugamèles, en 331 av. J.-C.). Il conquiert Babylone et Suse. Alexandre ordonne à ses soldats de piller et d'incendier Persépolis, la somptueuse capitale des Perses.
En trois ans, il a abattu le plus grand empire de son temps.
• Le Macédonien poursuit ses conquêtes vers l'est. Durant cinq années, il lutte contre des seigneurs qui avaient conservé une forte indépendance vis-à-vis du roi de Perse. Les combats se font plus durs, dans des régions de plus en plus lointaines. En 326 av. J.-C., Alexandre parvient aux rives de l'Indus, aux portes de l'Inde, un monde riche et mal connu des Grecs et des Macédoniens. Mais l'armée est épuisée et Alexandre doit se résoudre à faire demi-tour.
• Très vite, Alexandre convoite la Perse. En 334 av. J.-C., à la tête d'une troupe de 35 000 hommes, il traverse la mer Égée et remporte une première victoire contre les Perses (à Issos). Il conquiert rapidement les rives de la Méditerranée, depuis Troie jusqu'à la riche et prestigieuse Égypte, en passant par la Palestine. Il se tourne ensuite contre le roi de Perse, qu'il bat à nouveau (bataille de Gaugamèles, en 331 av. J.-C.). Il conquiert Babylone et Suse. Alexandre ordonne à ses soldats de piller et d'incendier Persépolis, la somptueuse capitale des Perses.
En trois ans, il a abattu le plus grand empire de son temps.
• Le Macédonien poursuit ses conquêtes vers l'est. Durant cinq années, il lutte contre des seigneurs qui avaient conservé une forte indépendance vis-à-vis du roi de Perse. Les combats se font plus durs, dans des régions de plus en plus lointaines. En 326 av. J.-C., Alexandre parvient aux rives de l'Indus, aux portes de l'Inde, un monde riche et mal connu des Grecs et des Macédoniens. Mais l'armée est épuisée et Alexandre doit se résoudre à faire demi-tour.
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