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Bonsoir,
Le progrès technique provoque une intensité capitaliste qui est source d’une amélioration de la productivité, qui, par des conséquences positives sur l’offre et la demande créé de la croissance. La concurrence entre les entreprises, les impulsent à innover car cela leur attribue une part du marché qui générera des profits, qui avait été diminué par la baisse des prix. Lesquels sont réinvestis dans la recherche et le développement, ce qui permettra la création d’innovation, donc de croissance qui profitera à tous. On observe ici un cercle vertueux du progrès technique. Mais le celui-ci, pour contribuer encore plus fortement à la croissance doit se diffuser, se généraliser. Il y aura, alors des externalités positives car tous en profiteront. Mais cela provoque une phase de récession, facteur de crises, et on voit l’innovation comme une mécanisme de destruction créatrice qui dévalorise des techniques, des métiers, des produits et supprime des emplois par le biais de nouveaux procédés plus productifs que l’homme ou la destruction d’entreprises donc les techniques sont remises en cause et jugées obsolètes. Cependant, ce processus de destruction créatrice, comme l’indique son nom, a certes, comme conséquence directe, une destruction d’emplois, mais dans un second temps, les gains de productivité associés à l’usage des nouveaux équipements provoquent une diffusion de revenus qui alimentent une demande (biens de consommation et d’équipements) adressé à d’autres branches d’activité où apparaîtront de nouvelles entreprises qui seront créatrices d’emplois.
Comme par exemple dans le secteur de l’informatique où les salaires sont forts. Selon Alfred Sauvy, le progrès technique détruit des emplois dans certaines activités économiques mais en crée de nouveaux dans d’autres activités, d’où l’idée d’un "déversement", à long terme. Nous pouvons aussi observer une amélioration de l’expérience professionnelle de la main d’œuvre qui accompagne le progrès technique. C’est une plus-value, à la fois pour les salariés mais aussi pour l’entreprise à l’origine du développement technologique.
Nous pouvons donc dire que le progrès technique induit de nombreux comportements (concurrence, recherche et développement, productivité, gains de productivité..) qui agissent plus ou moins positivement sur la croissance économique.
Le progrès technique provoque une intensité capitaliste qui est source d’une amélioration de la productivité, qui, par des conséquences positives sur l’offre et la demande créé de la croissance. La concurrence entre les entreprises, les impulsent à innover car cela leur attribue une part du marché qui générera des profits, qui avait été diminué par la baisse des prix. Lesquels sont réinvestis dans la recherche et le développement, ce qui permettra la création d’innovation, donc de croissance qui profitera à tous. On observe ici un cercle vertueux du progrès technique. Mais le celui-ci, pour contribuer encore plus fortement à la croissance doit se diffuser, se généraliser. Il y aura, alors des externalités positives car tous en profiteront. Mais cela provoque une phase de récession, facteur de crises, et on voit l’innovation comme une mécanisme de destruction créatrice qui dévalorise des techniques, des métiers, des produits et supprime des emplois par le biais de nouveaux procédés plus productifs que l’homme ou la destruction d’entreprises donc les techniques sont remises en cause et jugées obsolètes. Cependant, ce processus de destruction créatrice, comme l’indique son nom, a certes, comme conséquence directe, une destruction d’emplois, mais dans un second temps, les gains de productivité associés à l’usage des nouveaux équipements provoquent une diffusion de revenus qui alimentent une demande (biens de consommation et d’équipements) adressé à d’autres branches d’activité où apparaîtront de nouvelles entreprises qui seront créatrices d’emplois.
Comme par exemple dans le secteur de l’informatique où les salaires sont forts. Selon Alfred Sauvy, le progrès technique détruit des emplois dans certaines activités économiques mais en crée de nouveaux dans d’autres activités, d’où l’idée d’un "déversement", à long terme. Nous pouvons aussi observer une amélioration de l’expérience professionnelle de la main d’œuvre qui accompagne le progrès technique. C’est une plus-value, à la fois pour les salariés mais aussi pour l’entreprise à l’origine du développement technologique.
Nous pouvons donc dire que le progrès technique induit de nombreux comportements (concurrence, recherche et développement, productivité, gains de productivité..) qui agissent plus ou moins positivement sur la croissance économique.
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